jeIl a donc été reconnu coupable de tous les chefs d’accusation. « C’était un procès honteux et truqué. Le véritable verdict sera rendu le 5 novembre par le peuple. Ils savent ce qui s’est passé, et tout le monde sait ce qui s’est passé », a déclaré Donald Trump à sa sortie de la salle d’audience jeudi dernier. Le lendemain, il donne une conférence de presse dans la Trump Tower, le 5e Avenue à New York : « C’est une affaire où, s’ils peuvent me faire ça, ils peuvent le faire à n’importe qui… Il n’y a jamais eu de juge avec un tel conflit d’intérêts… Tout cela est fait par Biden et son peuple. » Ajoutant : « Nous vivons dans un État fasciste. »
Dehors, une petite foule a immédiatement manifesté, dont Igor Mala, un bout de papier avec « Trump 2024 » écrit sur son canotier : « C’est un procès stalinien. Montre-moi la victime, je te trouverai un crime. Il n’y a pas de justice. J’ai fui l’Union soviétique en 1976, je sais ce que c’est. » Il avait voté pour lui en 2016 et en 2020, et votera pour lui « en 2024 et après » – alors que la Constitution fixe la limite à deux mandats. « C’est l’un des nôtres, il dit la vérité, les gens comprennent que ce n’est pas un vrai politicien. » A ses côtés, Alex Pérez, avec une pancarte « Allez-vous vous battre pour la souveraineté de nos enfants ? », a dénoncé : « Je soutiens le président Trump, persécuté, c’est une ingérence électorale. Si les démocrates veulent gagner, qu’ils le fassent de manière juste et équitable. »
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