Les drames se succèdent et se ressemblent pour le Rugby Club Romans-Péage (RCRP). Un an après le meurtre de Thomas à Crépol, Nicolas, également joueur d’un club de rugby, est décédé des suites de ses blessures reçues lors d’une fusillade qui a éclaté dans la nuit du jeudi 31 octobre au vendredi 1er novembre sur le parking d’un discothèque près de Valence (Drôme).
« Une ville entière meurtrie par cette nouvelle tragédie, conséquence d’un acte barbare, gratuit et totalement insensé », a déploré
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Les réactions se multiplient
A droite de l’échiquier politique, les réactions ont été nombreuses sur les réseaux sociaux. Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, a dénoncé un « nouvelle victime de la barbarie quotidienne qui s’abat sur la France » tandis qu’Éric Ciotti affirmait que « nos jeunes tombent sous les balles et les coups des criminels qui ravagent le pays ».
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Même son de cloche du côté des Républicains (LR). Le député de la Haute-Loire, Laurent Wauquiez, lance un appel au gouvernement : « L’État doit enfin tout mettre en œuvre pour mettre fin au laxisme et protéger nos enfants » tout comme le président de Debout la France. ” Il est insupportable de voir nos jeunes victimes de la lâcheté des dirigeants français qui refusent de prendre les décisions qui s’imposent. », Wrote Nicolas Dupont-Aignan.
Réactions politiques mais aussi étudiantes avec celle du syndicat étudiant Cocarde qui interroge le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau : « Combien de fils et de filles de France devront nous enterrer en larmes avant d’agir Bruno Retailleau ? »
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A ce stade de l’enquête, la cause exacte de la fusillade est inconnue, mais elle pourrait être liée au trafic de drogue. Le tireur est toujours en fuite.
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