François Durovray a présenté son prochain programme pour l’année 2025. Que peut attendre l’industrie automobile ?
Ce mardi 22 octobre 2024le ministre des Transports, François Durovray a présenté son programme pour l’année 2025. À quoi pouvons-nous nous attendre et à quoi ressemblera les impacts sur les automobilistes ?
Faites-le avec un budget plus serré
L’actualité autour de l’industrie automobile n’a pas été rose ces dernières semaines. En effet, Michel Barnier, le Premier ministre, a révélé le Budget pour l’année 2025. L’enveloppe concernant l’automobile a été drastiquement réduite réduit. En effet, le montant maximum du bonus écologique devrait diminuer de 1er janvier.
Parallèlement, le malus CO2 verra un durcissement du seuil de déclenchement. En effet, en 2027, 80 % des voitures seront impactées par le malus écologique.
Des mesures qui interviennent au moment où les constructeurs chinois souhaitent arriver en masse sur le continent européen malgré la surtaxe sur les modèles.
On en sait plus sur le programme de François Durovray, le ministre des Transports, pour l’année 2025. Il a débuté son discours en déclarant : « Les transports représentent un tiers des émissions du pays. C’est donc un tiers du problème… mais aussi un tiers des solutions ! Le ministre des Transports justifie ici les mesures déjà annoncées par le gouvernement.
Un cap clair pour 2025 !
François Durovray a insisté sur difficulté économique que traverse actuellement le pays, exigeant des concessions de la part de l’industrie automobile : « Le budget des transports 2025 est un budget de résilience. C’est-à-dire qu’il finance les fondamentaux et préserve le présent. Mais ma responsabilité est aussi de préparer l’avenir.
Et pour l’avenir, le ministre des Transports est très clair sur la façon dont il vœux. Selon lui, c’est « en progrès technologique, notamment dans le développement des véhicules électriques ».
Plus la réduction de la pollution ne peut pas passer uniquement par voitures électriques. Parallèlement, François Durovray souhaite « lutter contre la motorisation et développer l’offre de transports publics ».
En fait, il souhaite donc améliorer l’offre à la périphérie des villes, où les difficultés trouver une alternative à la voiture sont le plus important. Enfin, le ministre a annoncé vouloir poursuivre le développement de vélo un serait.
Le cap pour 2025 est désormais clair : développement voiture électrique, lutte contre l’auto-isolement, développement la disponibilité des transports en commun ou même continuer le développement du cyclisme un serait.