«Cette maman qui est dépassée»

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Jean-Marie et Christine Villemin avec leur avocat, Me Henri-René Garaud, à Epinal (Vosges), en octobre 1984. GRÂCE/DONNER

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Archives « Tout se retourne contre elle parce qu’ils la croient coupable », écrivait au printemps 1985 le journaliste François Caviglioli à propos de Christine Villemin, alors soupçonnée par les enquêteurs d’être le corbeau.

Pour aller plus loin

Le 16 octobre 1984, le corps de Grégory Villemin, 4 ans, est découvert pieds et poings liés à Vologne (Vosges). Quarante ans plus tard, l’affaire, devenue un fiasco médiatique et judiciaire, reste entière. Le grand reporter François Caviglioli l’a suivie pour le Nouvel Observateur ; son article « Cette mère qu’on accable » est paru le 29 mars 1985. Le voici.

NOTRE TEMPS
GRÉGOIRE

CETTE MÈRE QUE NOUS PRÉCISONS

En désignant Christine Villemin comme l’assassin de son fils, la police a fait du drame l’un des faits divers du siècle.

Peut-être parce qu’elle se sentait seule et détestée comme une sorcière, peut-être parce qu’elle a été convoquée le lendemain chez le juge d’instruction et qu’elle avait peur, Christine Villemin, qui n’a que vingt-quatre ans et enceinte de deux mois, s’est rendue…

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