«Cela m’est vraiment utile» – .

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Absent du Masters 1000 de Madrid, Novak Djokovic fera ses débuts à Rome ce vendredi soir, défiant le Français Corentin Moutet (ATP 83). Avec les absences de Carlos Alcaraz et Jannik Sinner, le Serbe, qui n’a pas encore remporté un seul tournoi cette année, sera le favori du dernier grand rendez-vous avant Roland-Garros. A la veille de son premier match dans un tournoi qu’il a remporté six fois, l’actuel numéro un mondial a répondu aux questions des médias…

Pourquoi n’as-tu pas joué à Madrid ?

Cela ne faisait pas partie du programme. Le plan était de venir ici. Donc…”

Physiquement, comment vous sentez-vous ?

J’ai bien travaillé ces derniers temps. J’ai eu beaucoup de temps pour me reposer et m’entraîner. J’ai eu un bon bloc. Je suis arrivé pour m’entraîner quatre ou cinq jours avant mon premier match contre des joueurs de haut niveau. C’est évidemment différent de s’entraîner avec eux que de jouer des séries d’entraînement avec des partenaires d’entraînement. J’ai pu jouer avec Dimitrov et Rune par exemple. Je pense que je suis en bonne voie pour atteindre mon apogée à Roland Garros. J’espère qu’ici, à Rome, je jouerai mieux qu’à Monte-Carlo. Nous allons voir ce qui se passe. C’est la première fois que Rome et Madrid se déroulent sur deux semaines, comme Indian Wells ou Miami. Cela vous donne plus de temps pour récupérer entre les matches si vous gagnez, ce qui m’est utile.

Pouvez-vous parler des récents changements survenus au sein de votre personnel ?

Je travaille actuellement avec le préparateur physique avec qui j’ai travaillé de nombreuses années (NDLR : Gebhard Gritsch). Il ne m’a pas fallu longtemps pour m’adapter à son programme et à son approche. Nous nous connaissons très bien. Avec Nenad Zimonjic, mon coach aussi bien sûr. Je suis content de la façon dont s’est déroulée la dernière quinzaine en termes d’entraînement, de préparation et d’anticipation de ce tournoi, avant Roland-Garros, Wimbledon et les JO. C’est le bloc auquel nous nous préparons le plus.

Les regrets de Zizou Bergs après son match contre Rafael Nadal.

“Jouer contre Nadal à Roland-Garros, c’est comme jouer contre un mur”

Ce devrait être le dernier Roland-Garros de Rafael Nadal. Peux-tu nous expliquer ce que ça fait de jouer contre lui à Paris ?C’est probablement l’un des plus grands défis que l’on puisse relever sur le circuit. Je l’ai joué probablement plus souvent que n’importe quel autre joueur sur ce terrain. Le tribunal est plus grand. Il y a plus d’espace, ce qui affecte grandement le jeu visuellement et la sensation du joueur sur le terrain. Il aime rester assez loin, en échange. Il y a des moments où il est vraiment dans la zone et dans le rythme, où il ne fait pas beaucoup d’erreurs. Cela semble impénétrable. Il est comme un mur. C’est un athlète incroyable. L’intensité qu’il apporte sur le terrain, surtout là-bas, est quelque chose qui a été très rarement vu, je pense, dans l’histoire de ce sport. Je suis sûr que ce tournoi sera très émouvant pour lui, comme ce fut probablement le cas à Madrid et ce sera ici à Rome. Mais là surtout, à cause des records qu’il détient.

 
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