un portrait peu flatteur mais « juste » de Donald Trump à l’aube de son ascension

un portrait peu flatteur mais « juste » de Donald Trump à l’aube de son ascension
un portrait peu flatteur mais « juste » de Donald Trump à l’aube de son ascension

« 1. Tacle. Tacle. Tacle. 2. N’admettez rien. Niez-le catégoriquement. 3. Réclamer la victoire et ne jamais admettre la défaite. C’est le mantra martelé par un jeune Donald Trump appliquant consciencieusement les principes cyniques de son mentor, l’avocat Roy Cohn, en L’apprenti. En salles ce 9 octobre, le biopic retrace son ascension à New York dans les années 1970 et 1980. Le réalisateur irano-danois Ali Abbasi (Frontière, Nuits de Mashhad) robe “un portrait juste de ce à quoi les États-Unis et le monde sont confrontés aujourd’hui, lorsqu’il s’agit d’un ancien et peut-être futur président”, louer le magazine Temps.

Depuis sa projection au Festival de Cannes en mai 2024, le film suscite beaucoup d’attention. Des magouilles sur ses projets immobiliers à son évasion fiscale, en passant par sa liposuccion ou sa greffe de cheveux et une scène de viol impliquant Ivana, sa femme dont il était alors en train de divorcer, L’apprenti dresse un portrait peu flatteur de Trump. Décédée en 2022, cette dernière avait porté cette accusation contre son ex-mari, avant de se rétracter.

Menaces du candidat

Et s’il doit bien sortir ce 11 octobre aux Etats-Unis, peu avant l’élection présidentielle du 5 novembre, Les apprentis

 
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