En quête de maintien en Ligue 1, le FC Metz s’avance avec ambition face au LOSC ce dimanche, avec une confiance retrouvée.
En grande difficulté ces derniers mois, ce qui explique sa place de barragiste (16ème, 29 pts) en championnat, le FC Metz vient de gagner un supplément de confiance en enregistrant deux succès consécutifs face au RC Lens (2-1) puis au Havre (0-1). ). Trois points de plus que le FC Lorient, dix-septième, et une bonne série, l’ambiance est au beau fixe en Lorraine où Laszlo Bölöni espère que ses hommes parviendront à confirmer leur forme actuelle en en faisant trois : « Je ne les laisse pas être plus sereins. C’est vrai que nous avons eu deux bons résultats, peut-être inattendus, mais qu’avons-nous fait ? Il faut constamment confirmer et courir derrière soi pour arriver confortablement. Cela ne se fera pas du jour au lendemain, cela se fera à la fin du championnat. Nous n’avons pas le droit d’abandonner car nous sommes encore très loin de pouvoir crier victoire. Serein non, confiant pourquoi pas. Il faut rester extrêmement vigilant »a lancé le technicien en conférence de presse, prêt à mener la vie difficile à Paulo Fonseca et au LOSC.
Difficile la vie de ses adversaires, c’est le métier de Georges Mikautadze, serial buteur du FC Metz avec cinq buts inscrits lors des trois derniers matches disputés en Ligue 1. Menace n°1 des Dogues, son rôle a été tempéré par son technicien, qui préféré valoriser le groupe plutôt que l’individualité : « C’est un élément important, à des degrés divers, du 11. Mais Mikautadze, ce n’est pas le FC Metz. C’est mon ami, je l’aime, je me suis battu pour lui, mais il ne gagne pas des matchs seul : il reste l’un des vingt qui figurent sur la feuille de match. Je ne parlerai jamais du roi George, je n’y suis pas obligé.confiait Laszlo Bölöni lorsque Lucas Chevalier, avant le match, était invité à parler du « Mbappé du FC Metz » et de ses nombreuses qualités.
