«Ça m’a rassurée d’apprendre que je ne suis pas née d’un viol ou de quelque chose d’horrible» – Libération – .

«Ça m’a rassurée d’apprendre que je ne suis pas née d’un viol ou de quelque chose d’horrible» – Libération – .
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Témoignage

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Souvent pointés du doigt pour leurs dérives, les réseaux sociaux permettent aussi de renouer avec des proches, inconnus ou perdus de vue. Cinquième épisode avec Marine, 33 ans, danseuse acrobate dans l’Ain.

Les réseaux sociaux ont fait tomber les frontières et raccourci le temps : nous pouvons désormais trouver presque tout le monde, n’importe où, en quelques clics. Rien que sur Facebook, il y avait 2,989 milliards d’utilisateurs actifs mensuels en 2023, soit un peu moins de la moitié de la population mondiale. Depuis l’avènement de l’ère de la sociabilité connectée, à la fin des années 2000, Instagram, Snapchat, TikTok, LinkedIn mais surtout Facebook ont ​​permis à de nombreuses familles perdues de vue de se recomposer, et d’amours perdus de se reconnecter, ou pour les curieux pour enquêter sur leur propre histoire… Ils témoignent dans Libérer.

« Je suis née sous X en 1990. J’ai été laissée à la maternité, ma mère biologique ne voulait pas me voir ni connaître le sexe de l’enfant qu’elle venait d’avoir. Puis j’ai été adoptée à l’âge de trois mois. Je suis tombé dans une grande famille lyonnaise, qui m’a toujours dit que j’étais né sous X. J’avais un frère également adopté du Brésil et une sœur du Guatemala. J’ai eu une vie et une éducation tout à fait normales.

« J’ai toujours eu une légère envie de connaître mes origines. En 2015, j’ai cherché des indices dans le dossier d’adoption. J’ai réussi à retrouver le prénom et la description de ma mère biologique.

 
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