puni par Barcelone, le PSG condamné à l’exploit au retour pour rêver du Final Four

puni par Barcelone, le PSG condamné à l’exploit au retour pour rêver du Final Four
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Il y aura sûrement un club français au Final Four de la Ligue des Champions début juin à Cologne. Après avoir écrasé Kiel (39-30) lors du match aller des quarts de finale de la prestigieuse compétition européenne, Montpellier a pris une énorme option. Pour le PSG, ce sera (beaucoup) beaucoup plus compliqué. Valeureux mais miné par les blessures, le PSG s’est incliné face au FC Barcelone (22-30). Huit buts de différence, un gouffre.

Cette défaite finalement très large n’élimine évidemment pas Paris. Perdre un match aller et se qualifier pour le match retour en Catalogne, les collègues de bureau des handballeurs, emmenés par Kylian Mbappé, l’ont fait récemment. Mais cela reste un exploit. La tâche des joueurs de Raul Gonzalez est désormais diablement ardue. Ils devront s’imposer à Barcelone le 2 mai avec au moins 9 buts d’avance.

Paris n’a jamais gagné à Barcelone

C’est une mission presque impossible. Depuis 2013, Paris a joué 5 fois contre Barcelone et n’a jamais gagné. En désormais 11 confrontations directes, le PSG n’en a remporté qu’une et a fait match nul. Mais c’était il y a déjà 8 ans.

Ce 25 avril, le PSG a sûrement payé trop cher son calendrier fou en disputant son 48e match de la saison. La facture s’élève à une bonne soixantaine pour ses internationaux. Les organismes parisiens sont cuits. Touché au genou lors de la finale de Coupe de , Elohim Prandi a débuté la rencontre. Mais le héros de l’Euro n’a joué que 5 minutes, sûrement rattrapé par la douleur et on ne l’a plus jamais revu.

Déjà privé de David Balaguer et Mathieu Grebille blessés et restés en tribunes, le PSG a affronté les grands noms de Barcelone avec leurs enfants Peleka, Ntanzi, Gibelin qui ont tenté de tenir la baraque avec force et courage. Mais c’est trop court face à une armada comme celle du Barça.

Karabatic veut retarder son projet européen

On y a pourtant cru jusqu’à la pause. Parce que le PSG a été courageux et courageux. Pour son dernier match de Ligue des Champions sur le territoire français, Nikola Karabatic a été plus que ça. Le quadragénaire se jetait sur tous les ballons tel un cadet qui doit faire ses preuves. La peur de « échouer » comme il dit en mettant en péril la fin de sa carrière ? Cela ne lui vient jamais à l’esprit.

Dans sa cage, Andreas Palicka, le gardien suédois, se dressait comme un mur, dégoûtant les attaques blaugranas avec une douzaine d’arrêts spectaculaires. Dika Mem, Melvyn Richardson et Timothey N’Guessan, les trois Français du Barça, se sont relayés pour lui casser les dents. Avec tous ces ingrédients, le PSG atteint la pause avec 3 buts d’avance (14-11). Mais cela ne suffisait pas.

L’erreur à ce moment-là a été d’oublier le calibre de l’adversaire d’en face : le FC Barcelone. Sous leur maillot rouge et or, les Barcelonais ont profité des faiblesses d’un PSG privé de solutions face à la cruelle limite de ses rotations. Pour que dans une semaine, Nikola Karabatic ne joue pas le dernier match de son immense carrière en Ligue des champions, il faudra un exploit considérable. Le plus grand de l’histoire du handball du PSG.

 
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