Il y a beaucoup de monde en été, la route qui fait le tour de cette ville en Espagne va connaître des changements

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Un important projet routier est prévu pour Figuiers (Espagne). Ce mercredi 18 septembre 2024, le Journal de Gérone confirme que le ministère espagnol des Transports a définitivement approuvé la Doublement du N-IIla route nationale qui permet de contourner la ville située à moins d’une heure de Perpignan.

Un projet de 111 millions d’euros

Dans sa configuration actuelle, la N-II ne comporte qu’une seule voie dans chaque sens de circulation. En été, elle est donc très souvent bondée à Figueres. Et pour cause, outre les locaux, les nombreux touristes désireux d’accéder à la stations balnéaires de la Costa Brava transit par cet axe.

Mais bonne nouvelle, le projet du ministère des Transports permettra de passer en deux fois deux voies sur un tronçon de 8,2 kilomètres.

Dans le détail, on apprend que c’est la route entre les points kilométriques 748,8 et 757 qui sera élargie (en turquoise sur la carte ci-dessous). Une façon de limiter les embouteillages et de fluidifier la circulation, notamment en période estivale.

La date de début des travaux n’a pas encore été dévoilée, mais les premières pelletées sont attendues avec impatience. Journal de GéroneCe projet était dans les cartons depuis une décennie. Les gouvernements successifs l’avaient repoussé à plusieurs reprises. Résultat ? Dix ans plus tard, le coût de ce projet est passé de 35 à 111 millions d’euros.

Une nouvelle connexion avec l’autoroute

Ce n’est pas le seul changement prévu autour de Figueres. En juin dernier, le ministère des Transports avait également provisoirement approuvé la future connexion (en turquoise sur la carte ci-dessous) entre l’AP-7 et la rocade, au sud de la ville.

Cette route permettra aux véhicules en provenance de Gérone et en direction de la France de quitter l’autoroute et d’emprunter la voie rapide N-II. À l’inverse, les véhicules en provenance de la N-II, au sud de Figueres, auront la possibilité d’emprunter l’AP-7.

Avant de pouvoir commencer les travaux de cette future liaison, il faudra attendre la validation finale du ministère. Pour l’instant, le projet est estimé à près de 50 millions d’euros.

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