Agression verbale et physique, gardes à vue, plaintes, ITT… Ce que l’on sait de l’agression d’un directeur d’école à Marseille

Agression verbale et physique, gardes à vue, plaintes, ITT… Ce que l’on sait de l’agression d’un directeur d’école à Marseille
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Une mère et sa fille ont été placées en garde à vue ce mercredi après l’agression d’un directeur d’école dans le 11e arrondissement de Marseille.

Une mère et sa fille sont en garde à vue depuis le 18 avril suite à l’agression d’un directeur d’école dans le 11e arrondissement de Marseille lundi. Ce dernier a été attaqué « physiquement et verbalement », après qu’un élève a été privé d’un voyage scolaire, faute d’autorisation parentale, selon l’inspection académique. Le directeur de l’établissement et l’inspection ont porté plainte.

Agression physique et verbale

Ce lundi 15 avril, une mère et sa fille se sont présentées devant l’école de la Millière, dans le 11e arrondissement de Marseille après qu’un élève n’a pas pu participer à un voyage scolaire, faute d’autorisation parentale, a-t-on appris. France 3 Provence-Alpes auprès de l’inspection académique, confirmant les faits rapportés par Provence.

Une vive altercation s’ensuit et le directeur de l’établissement est agression « physiquement et verbalement», indique encore l’inspection.

Une femme et sa fille en garde à vue

Une femme de 38 ans et sa fille de 19 ans ont été placées en garde à vue ce jeudi pour violences aggravées et injures sur personnes chargées de missions de service public, a indiqué le parquet à France 3 Provence-Alpes, confirmant une information du journal. Provence.

La garde à vue a été prolongée aujourd’hui. Le directeur de l’établissement a déposé plainte ce mardi, suivi par l’inspection académique, “en support”.

Deux jours d’incapacité temporaire de travail

La durée de l’incapacité temporaire totale du directeur de l’établissement a été estimée à deux jours, indique le parquet. La police était présente ce jeudi 18 avril matin devant l’école pour assurer la sécurité. La ministre de l’Éducation nationale, Nicole Belloubet, et le maire de Marseille, Benoît Payan, ont fermement condamné ces actes.

 
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