Jean-Paul Belmondo nous a quitté en septembre 2021 à l’âge de 88 ans. Le 9 avril prochain, il aurait fêté ses 91 ans. Deux ans et demi après sa disparition, ses proches ne manquent pas de se souvenir de l’homme qu’il était et d’entretenir sa mémoire.
Dans les colonnes de Paris-Match, son fils, Paul Belmondo, partage quelques anecdotes survenues après la mort de Bébel. Il croit percevoir les messages envoyés par son père depuis l’au-delà. Et pour cause, certaines coïncidences sont plus qu’étranges. Le sexagénaire explique : « Sur l’écran, parfois, j’ai l’impression qu’il me fait signe. À sa mort, l’ascenseur est soudainement tombé en panne. Nous avons dû le faire descendre avec difficulté les escaliers, comme s’il voulait rester avec nous. »
Il partage une autre anecdote troublante, faisant écho au parcours de Jean-Paul Belmondo : « Au crématorium : panne du deuxième ascenseur. Le jour où nous sommes partis disperser ses cendres dans sa maison d’enfance à Piriac-sur-Mer, impossible de trouver un taxi. J’ai dû prendre le métro, avec dans mon sac, et passer par la station de métro Bir-Hakeim, celle de la scène mythique de Peur sur la ville… Il avait envie de le refaire ? Je crois à ces signes. »
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Une dernière blague
L’histoire de la panne de l’ascenseur a été racontée par Victor Belmondo, petit-fils de Jean-Paul Belmondo. Ses proches ont pu rire une dernière fois, comme le rapporte le journal. Le Parisien au moment de son décès : Même aujourd’hui tu nous fais des blagues » a lancé Victor Belmondo. Le journal précise à propos du cercueil : « Après avoir été exposé aux Invalides jeudi soir, celui de Jean-Paul Belmondo a eu beaucoup de mal à démarrer la journée ce vendredi matin. Il s’est retrouvé coincé dans un ascenseur, coincé avec l’employé du salon funéraire. Victor Belmondo a égayé l’assemblée en racontant cette histoire digne de Michel Audiard, avant de s’effondrer à la fin de son discours. « . Lors de l’hommage organisé aux Invalides, Victor Belmondo a eu de tendres pensées à l’égard de son grand-père décédé : « Il était et restera un soleil. Un soleil ne s’éteint pas, il brille et rayonne partout. Tout le temps. Quand il se couche quelque part, il se réveille ailleurs. C’est un soleil éternel. Merci Papi, de nous avoir donné tant de joie. Vous nous quittez remplis de cet immense bonheur. On pense à toi. Nous t’aimons. Et amusez-vous avec vos amis qui vous ont tant manqué. »
