doit-il abandonner la campagne présidentielle ? – .

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Candidat républicain à l’élection présidentielle de novembre face au président démocrate Joe Biden, il cherche par ses multiples recours à être jugé le plus tard possible, au moins après l’élection de novembre.

S’il était réélu, une fois investi en janvier 2025, il pourrait ordonner l’arrêt des poursuites fédérales à son encontre.

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Voici une mise à jour sur ses problèmes juridiques criminels.

Élection présidentielle de 2020, au niveau fédéral

Devant la justice fédérale, Donald Trump est poursuivi pour tentatives illégales d’annuler les résultats de l’élection de 2020 remportée par Joe Biden. Il est notamment accusé de « complot contre les institutions américaines » et « d’atteinte au droit de vote » des électeurs.

Le procureur spécial Jack Smith l’accuse d’avoir fait pression sur les autorités locales de plusieurs Etats où s’est déroulée l’élection pour invalider les résultats officiels.

Si l’ancien président républicain n’est pas directement concerné par l’assaut du Capitole le 6 janvier 2021, le procureur lui reproche d’avoir “exploité la violence et le chaos”.

Dans ce cas, Donald Trump risque des décennies de prison.

Le procès, initialement prévu le 4 mars à Washington, a été reporté le temps que la Cour suprême se prononce sur l’immunité pénale invoquée par l’ancien président, rejetée auparavant par la juge Tanya Chutkan, alors cour d’appel fédérale.

La décision de la Cour suprême est attendue pour juin, voire juillet.

Élection présidentielle de 2020 à Atlanta

Devant la justice de Géorgie (sud-est), il est poursuivi avec 14 autres personnes pour des faits similaires à ceux de son procès à Washington, en vertu d’une loi de cet Etat sur la délinquance en bande organisée, prévoyant des peines maximales de vingt ans de prison.

L’enquête a été déclenchée par un appel téléphonique du président sortant en janvier 2021 demandant à un haut responsable géorgien de « trouver » les quelque 12 000 bulletins de vote à son nom dont il avait besoin pour remporter l’État.

Son acte d’accusation a contraint Donald Trump à comparaître dans une prison d’Atlanta en août pour une photo et une prise d’empreintes digitales, une tristement célèbre première pour un ancien président américain.

La procureure Fani Willis a proposé que ce procès, le seul des quatre à être télévisé, débute le 5 août pour les 15 accusés.

Le juge Scott McAfee ne s’est pas encore prononcé sur le calendrier, mais a indiqué qu’il serait favorable à deux procès distincts s’il restait encore autant d’accusés.

Quatre des 19 personnes initialement inculpées ont déjà plaidé coupable. En échange de peines réduites, sans peine de prison, ils ont accepté de témoigner lors du futur procès des autres accusés.

Conservation des documents classifiés

Contrairement aux deux procédures précédentes, portant sur des actes commis pendant le mandat de Donald Trump, l’affaire des documents classifiés concerne des actes postérieurs à son départ de la Maison Blanche.

Dans cette autre affaire fédérale, également instruite par le procureur Jack Smith, il est poursuivi avec deux de ses assistants personnels pour sa gestion de documents classifiés dans sa résidence privée de Mar-a-Lago, en Floride (sud-est).

Il est accusé d’avoir compromis la sécurité nationale en conservant ces documents, notamment des plans militaires ou des informations sur les armes nucléaires, après la fin de sa présidence, au lieu de les remettre aux Archives nationales comme l’exige la loi. .

Il est également accusé d’avoir tenté de détruire des preuves dans cette affaire. Les accusations les plus lourdes sont passibles de 10 ans de prison.

Ce procès, qui devait s’ouvrir le 20 mai, sera très probablement reporté de plusieurs mois, mais la juge Aileen Cannon n’a toujours pas fixé de nouvelle date.

Paiements suspects avant les élections de 2016

L’affaire pour laquelle Donald Trump est jugé à partir de lundi devant la justice de l’Etat de New York remonte aux derniers jours de sa campagne victorieuse de 2016.

L’enjeu est le paiement de 130 000 dollars, déguisés en frais juridiques, à une ancienne star de films pornographiques, Stormy Daniels, pour dissimuler une relation sexuelle en 2006, ce qu’il nie.

Le procureur Alvin Bragg y voit une fraude électorale puisque le but de l’opération était de dissimuler aux citoyens des informations potentiellement préjudiciables au candidat républicain. Il risque jusqu’à quatre ans de prison pour les accusations les plus graves.

 
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