la mairie de Paris compte reprendre les terrains

la mairie de Paris compte reprendre les terrains
Descriptive text here

Depuis le 3 avril, le CLAP, le club historique qui occupe le terrain, dispose d’un délai de 15 jours pour libérer les lieux.

Belles histoires du dimanche

Découvrez des histoires inspirantes de solidarité et d’altruisme et partez à la rencontre de la générosité. Emotions garanties tous les dimanches !

Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter « Les belles histoires du dimanche ». Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien présent en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

La mairie de Paris veut bien dire »reprendre possession du terrain“situé au sommet de la butte Montmartre et occupé sans titre par un club de pétanque, qui lui demande de ne pas en expulser, ce que la justice vient d’autoriser.”La Ville doit pouvoir reprendre possession du terrain” Niché entre les murs de la très chic avenue Junot, à proximité du Moulin de la Galette, a expliqué vendredi à l’AFP Jean-Philippe Daviaud, délégué auprès du maire du 18e.ème arrondissement.

Dans un arrêt du 3 avril, le Conseil d’État a donné raison à la mairie, obligeant le club de pétanque des Abbesses de Lepic (Clap) à se retirer. « dans les quinze jours » cet espace vert protégé, propriété de la mairie, qu’elle occupe depuis un demi-siècle.

En cas de refus, le club pourrait se voir infliger une amende pouvant aller jusqu’à 500 euros par jour de retard. Mais jeudi, les dirigeants du club ont demandé à la mairie «engager une véritable réflexion, un dialogue et ne pas procéder à l’expulsion« . Si les quilleurs restaient au-delà du 19 avril, «il ne serait pas logique que la Ville renonce à ces pénalités», répond Jean-Philippe Daviaud qui dit «défendre les intérêts des Parisiens » face à une occupation « interdite » depuis 50 ans, « sans qu’aucune redevance ne soit versée »« .

Si la mairie veut reprendre le terrain, elle ne le fait cependant pas »,aucune envie d’envoyer la police pour les déloger“et veut”trouver un moyen pour le Clap de poursuivre ses activités», mais en partageant l’espace, a-t-il expliqué. La mairie a choisi de céder le terrain au gérant de l’hôtel voisin, qui s’est engagé à payer une redevance annuelle de 60 000 euros, à végétaliser la parcelle et à l’ouvrir au grand public.

Contrairement à ce que craignaient les élus écologistes, alliés de la maire PS Anne Hidalgo et venus jeudi soutenir le Clap, le boulodrome »ne sera jamais privatisée au profit des clients“Depuis l’hôtel, assure l’élu du groupe socialiste. Il projette »au moins six mois de travail“visant notamment à détruire la buvette”totalement illégal« les quilles et l’aménagement d’un étang.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV ce que nous savons du suspect
NEXT « Le public est mon médicament »