Une découverte tragique. Dans la nuit du 11 au 12 avril 2024, un homme a été hospitalisé à l’hôpital d’Étampes après avoir été victime d’un accident de la route à Forges-les-Bains, dans l’Essonne. Légèrement blessé et sous l’emprise de l’alcool, lors de sa prise en charge par les secours, l’homme a fait une révélation troublante.
Il a déclaré que ses deux enfants étaient dans le coffre de sa voiture qu’il avait garé à proximité d’une déchetterie située non loin du lieu de l’accident. Alertés, les gendarmes de l’Essonne se sont rendus aux endroits indiqués par l’homme et ils a découvert ses deux enfants, âgés de 3 et 19 mois, poignardés, dans le coffre de la voiture. Les événements tragiques se seraient produits à la suite d’un conflit conjugal.
Les enfants de l’homme étaient morts dans le coffre de la voiture
Des techniciens en identification criminelle vêtus de leur combinaison blanche sont venus sur place pour prélever les premiers échantillons de la scène de crime. “Les corps présentaient des traces de coups de couteau sur la poitrine pour l’un et sur le cou pour l’autre.», a précisé une Source proche de l’enquête dans les colonnes de Parisien.
Immédiatement, les enquêteurs se sont rendus au domicile de la mère des deux enfants. Elle n’était pas là. Elle avait trouvé refuge chez sa sœur. Des recherches sont menées à Guyancourt (Yvelines) et à Élancourt dans la famille de cet homme. Les voisins du couple ont déclaré que la famille était «très discret“. Un autre, choqué par ces faits, a expliqué :je n’ai rien entendu hier soir« .
Des voisins sous le choc d’un tel drame
“C’est choquant. Il a tué ses propres enfants. Ce matin (vendredi matin), il y a eu du brouhaha, c’était certainement les gendarmes qui arrivaient. Je n’ai connaissance d’aucun problème particulier dans notre immeuble. C’est un quartier très calme», a ajouté un autre voisin, qui n’en revenait pas à la nouvelle d’une telle tragédie.
De son côté, l’homme qui a reconnu les faits a été placé en cellule de dégrisement et devrait être entendu dans la journée du 12 avril. Le parquet d’Évry a quarante-huit heures pour décider des suites à donner à cette affaire. cas.
