la fin de 128 ans de tradition olympique

la fin de 128 ans de tradition olympique
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Comme expliqué Le gardien dès le début de son article, c’est une décision « qui rompt avec cent vingt-huit ans de tradition olympique ». Depuis 1896, année où Athènes a accueilli les premiers Jeux Olympiques modernes de l’histoire, les athlètes qui ont remporté les compétitions n’ont jamais été payés. Mais cette coutume est en train de disparaître.

En effet, World Athletics, la fédération internationale d’athlétisme, a annoncé “que dès les JO de Paris, les athlètes qui remporteront l’or dans chacune des 48 épreuves d’athlétisme prévues recevront 46 000 euros”, rapporte le média britannique. En outre, “World Athletics a promis d’accorder des récompenses aux médaillés d’argent et de bronze de 2028 et des Jeux olympiques de Los Angeles”, complète la vie quotidienne à Londres.

Conflit à venir avec le CIO ?

Même si les épreuves d’athlétisme sont souvent considérées comme les compétitions phares, les Jeux Olympiques incluent désormais une multitude d’autres sports. Ainsi, 329 épreuves sont prévues lors de l’événement parisien, dont seulement 48 en athlétisme.

La décision de World Athletics, considère Le gardien, peut provoquer un conflit avec le Comité International Olympique (CIO, qui regroupe tous les sports), car cette dernière ne rémunère pas les athlètes gagnants. Le risque est donc de créer une disparité de traitement entre les différentes disciplines qui conduit à ce que World Athletics “sera bientôt imité par d’autres fédérations internationales”, prévient le quotidien italien La Gazzetta du Sport. Au point de porter un coup au fameux esprit olympique ?

Ce n’est pas l’avis de Sebastian Coe, président de Word Athletics, qui s’est défendu de manière préventive d’une telle accusation en justifiant son choix par ces propos relayés par Le gardien.

“Bien qu’il soit impossible d’attribuer une valeur marchande à une médaille olympique ou à l’engagement et à la concentration requis [à un athlète] Pour représenter son pays aux Jeux olympiques, je pense qu’il est important de commencer quelque part. C’est pourquoi je crois que nous devons veiller à ce qu’une partie des revenus provenant de la participation de nos athlètes aux Jeux Olympiques soit directement reversée à ceux qui font de ces Jeux le spectacle mondial qu’ils sont.

 
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