ce mail d’un fou que les enquêteurs auraient peut-être dû prendre au sérieux

ce mail d’un fou que les enquêteurs auraient peut-être dû prendre au sérieux
Descriptive text here

Le corps d’Émile aurait-il pu être retrouvé plus tôt ? C’est ce qu’affirme un ancien consultant américain en renseignement. Alors que les ossements du petit garçon disparu en juillet 2023 viennent d’être découverts à Vernet, le major Ed Dames, 74 ans, certifie avoir informé les autorités françaises de la localisation du corps dès l’été 2023.

Dans les e-mails consultés par Le soleille septuagénaire spécialiste de la vision à distance, une méthode de perception extrasensorielle permettant d’accéder à des lointaines dans l’espace, aurait indiqué queÉmile «était localisé ou se trouvait à proximité» d’un champ. Or, le champ évoqué se situerait juste à côté de l’endroit où les restes ont finalement été découverts.

Il affirme avoir retrouvé le corps en deux jours

« Il a déclaré avoir été alerté par un membre du public et a ajouté : « Cela m’a pris deux jours. Je me suis lancé tout de suite. Je savais que c’était une affaire sérieuse et que c’était urgent. peut-on lire dans les colonnes de The Sun.

Dans les années 1980, Le major Ed Dames a servi comme officier de formation et d’opérations au sein du PSIINT, une unité controversée de la Defense Intelligence Agency (DIA), une agence de renseignement américaine. Le PNIINT a depuis été fermé et Dames poursuit ses activités en son nom. Décrit comme l’un des plus grands professeurs de visualisation à distance, il est aujourd’hui directeur de Matrix Intelligence Agency, un groupe de conseil privé. A noter que son expérience a inspiré le film Les chèvres du Pentagoneavec George Clooney et Ewan McGregor.

La scène du crime scrutée

Une fois les ossements d’Émile retrouvés, l’enquête reprend en force du côté de Vernet. Autour de la zone de découverte, deux équipes cynophiles, six experts de l’IRCGN et des dizaines de gendarmes ont été redéployés. Des fouilles ont lieu notamment à la recherche d’ossements manquants, tandis que les anthropologues explorent le terrain pour le faire parler.

En parallèle, des analyses sont réalisées sur le crâne du petit Emile à l’IRCGN de ​​Pontoise. « Les analyses réalisées à Pontoise devront déterminer s’il y a eu une altération des os, s’il y a eu des coups, s’il y a des traces de dents d’animaux qui auraient pu déplacer les os… ces éléments que l’on retrouvera sur le les ossements permettront peut-être de faire une hypothèse», explique Marie-Laure Pezant, porte-parole de la gendarmerie, au Point.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV La NASA retire le dernier avion DC-8 américain avec un survol final à South Bay
NEXT l’essence et le diesel plus chers aujourd’hui