le directeur de l’IRCGN souligne que les recherches sont « délicates et complexes »

le directeur de l’IRCGN souligne que les recherches sont « délicates et complexes »
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D’importants moyens de gendarmerie ont été déployés dans le Haut-Vernet et ses environs après la découverte des ossements appartenant au petit Émile, samedi 30 mars. Une brigade cynophile spécialisée dans la recherche de restes humains et des anthropologues font partie des équipes dépêchées sur place.

Des recherches « délicates et complexes ». Trois jours après la découverte des ossements du petit Émile au sud du hameau du Haut-Vernet samedi 30 mars, d’importants moyens de gendarmerie restent mobilisés pour poursuivre les recherches sur zone.

Des brigades cynophiles sont mobilisées sur le terrain aux côtés des enquêteurs de la section de recherche de Marseille, des gendarmes et de l’Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (IRCGN).

Invité de BFMTV ce mardi 2 avril, le directeur de l’IRCGN est revenu sur les opérations menées par ses équipes. « Sur place, l’IRCGN a prévu une équipe pluridisciplinaire », précise-t-il.

« La mission principale est de mener des fouilles opérationnelles pour tenter de retrouver d’autres éléments dans des zones d’intérêt », poursuit François Heulard.

Des enquêtes difficiles, notamment à cause du « terrain »

Le directeur de l’IRCGN explique que les recherches sont « délicates et complexes ». « Les fouilles corporelles sont toujours des opérations extrêmement délicates et complexes », précise François Heulard. Des investigations rendues difficiles notamment à cause du « terrain ».

L’objectif des experts, notamment des anthropologues déployés sur les fouilles, est d’analyser les ossements d’Emile pour éventuellement déterminer les circonstances de la mort du jeune enfant.

“Notre travail est d’essayer de faire parler le plus possible les indices et les éléments matériels dont nous disposons pour tenter d’étayer une hypothèse plutôt qu’une autre”, confie François Heulard à BFMTV.

François Heulard explique que l’expertise « est une opération complexe » et que le travail ne doit pas être « grand chose ». Selon lui, l’expertise « peut effectivement prendre du temps pour donner un résultat fiable et exploitable ».

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