Lettre à ceux qui ne voulaient pas voir naître l’islamisme par paresse et lâcheté

Lettre à ceux qui ne voulaient pas voir naître l’islamisme par paresse et lâcheté
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La citation de Charles Péguy est aujourd’hui connue mais conserve néanmoins toute sa pertinence, compte tenu de la multiplication des menaces de mort visant les membres de l’Éducation nationale. Dans Notre jeunesse, publié en 1910, le grand écrivain prévenait : « Il faut toujours dire ce que l’on voit ; avant tout, il faut toujours voir ce que l’on voit. »

Lorsque certains, peu nombreux, se sont mis à dire ce qu’ils entendaient dans les écoles, ils se sont heurtés à ceux qui ne voulaient pas voir. C’est en 2002 qu’un groupe de professeurs publie un ouvrage, sous la direction de Georges Bensoussan, dont le titre est aujourd’hui devenu une expression : Les territoires perdus de la République (Milles et une nuits). Lors des formations qu’il a animées pour le Mémorial de la Shoah, l’histoire…

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