nouvelles recherches ce lundi « sans limite de durée »

nouvelles recherches ce lundi « sans limite de durée »
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Les fouilles se poursuivent ce lundi pour analyser la zone où ont été découverts les ossements du petit Emile, près du Haut-Vernet. Un coordinateur de scène de crime est attendu.

L’essentiel

  • Neuf mois après sa disparition, les ossements du petit Emile ont été découverts samedi 30 mars 2024, près du hameau du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), a annoncé ce dimanche le parquet d’Aix-en-Provence.
  • C’est un promeneur qui a découvert le crâne au sud du hameau, « tout comme les dents » indique Le Parisien. L’identité du petit garçon a été rapidement confirmée par l’Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (IRCGN).
  • La trace du mouvement du corps devient plus épaisse. C’est celle qui a la préférence de Jacques-Charles Fombonne, ancien commandant du centre national de formation de la police judiciaire de la gendarmerie comme l’explique à France Info : “Vu les moyens qui ont été mis en place, on a vraiment cherché, ça veut dire dire que le corps a bougé.
  • Ce lundi 1er avril 2024, le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) est bouclé par la police. De nouvelles fouilles et enquêtes commencent pour tenter de déterminer les circonstances de la mort du petit Emile. Au total, une centaine de gendarmes ont été engagés pour reprendre les recherches et un coordinateur de scène de crime est attendu.

En direct

12:29 – Un hommage prévu par le maire de La Bouilladisse

Le maire de La Bouilladisse, le village des parents du petit Emile, a annoncé ce lundi 1er avril qu’un hommage serait rendu au petit garçon. “Nous allons organiser quelque chose, tout cela se fera en accord avec la famille” a expliqué José Morales à BFMTV. Un premier hommage sera rendu ce jeudi, au conseil municipal : « On fera au moins une collecte à la mairie demain », conclut-il.

11h31 – Pas de limite de temps pour les enquêtes

Le colonel Pierre-Yves Bardy n’a pas pu donner plus de détails sur la durée des recherches devant la presse ce lundi 1er avril. « Elles dureront aussi longtemps qu’il sera nécessaire. Il n’y a pas de limite de temps pour les enquêtes. Tant que les enquêteurs devront travailler dans un environnement sécurisé, la zone restera interdite.

11h26 – « Équipes cynophiles composées de chiens spécialisés dans la recherche de restes humains »

Le commandant de la gendarmerie des Alpes-de-Haute-Provence poursuit : « Hier, tous les moyens techniques ont convergé vers les Alpes-de-Haute-Provence. Des équipes cynophiles, avec des chiens spécialisés dans la recherche de restes humains, sont mobilisées « afin d’apporter un soutien supplémentaire aux enquêteurs ». « En fonction de l’évolution de l’enquête et des besoins, nous nous adaptons constamment », poursuit-il. « Nous sommes susceptibles de développer le système à tout moment. Actuellement, une équipe de très haute expertise, composée d’une dizaine de personnes, travaille sous la direction des juges d’instruction », conclut-il.

11h18 – « Un système de contrôle » annoncé par la Gendarmerie

« L’objectif est de permettre aux enquêteurs de travailler dans les meilleures conditions. Un système de contrôle de zone a été mis en place pour éviter que les randonneurs puissent polluer le site de recherche » a déclaré ce lundi matin, le colonel Pierre-Yves Bardy, commandant du groupement de gendarmerie des Alpes-de-Haute-Provence vers 11 heures devant la presse. “Le système d’interdiction est composé de postes fixes et d’éléments mobiles qui permettront d’interdire l’accès au Haut-Vernet.”

10h56 – Une collecte de fonds lancée pour aider la famille à payer les funérailles

Depuis l’annonce de la découverte des ossements appartenant au petit Emile, les messages de soutien se multiplient et un fonds de soutien a été lancé sur le groupe Facebook « Prions pour Emile ». « Ce fonds vise à montrer notre soutien à la famille d’Emile. Pour contribuer à lui offrir de belles funérailles et offrir des messes pour sa famille » explique l’un des administrateurs de la page. Ce lundi matin, 26 participations ont été enregistrées.

10h45 – Les drones seront déployés

Ce lundi, une centaine d’enquêteurs et de chiens de recherche sont mobilisés dans le Haut-Vernet pour faire la lumière sur la découverte des ossements du petit Emile. La météo défavorable de ces derniers jours complique grandement la tâche des experts, notamment lorsqu’il est nécessaire de recourir à des drones, explique la porte-parole de la gendarmerie Marie-Laure Pezant : « Nous privilégierons une fenêtre météo plus favorable, mais « cela ne nous empêchera pas d’aller sur le terrain », explique-t-elle.

10h20 – Le Vernet interdit les visiteurs

François Balique, maire de Vernet, a interdit l’accès aux personnes extérieures au hameau jusqu’au dimanche 7 avril prochain, à midi. Un arrêté municipal pris ce dimanche afin « d’assurer la tranquillité des habitants du Haut-Vernet et de ses environs ».

10h16 – L’hypothèse du déplacement du corps privilégiée

La trace du mouvement du corps devient plus épaisse. Et c’est elle qui a la faveur de Jacques-Charles Fombonne, ancien commandant du centre national de formation de la police judiciaire de la gendarmerie comme l’explique à France Info : “Cela conforte plutôt l’hypothèse d’un corps qui aurait été déplacé et mis justement dans cet endroit, sachant qu’ils disent que nous n’y retournerions pas. Vu les moyens qui ont été utilisés, on a vraiment cherché, ça veut dire que le corps bougeait”, assure-t-il. Par ailleurs, une simulation a eu lieu jeudi dernier, auprès de 17 personnes sur les 25 que compte le hameau. Une version qui semble tenir la corde pour le porte-parole de la gendarmerie, invité de BFMTV hier. Elle juge « crédible » un potentiel déplacement des os. Si les enquêteurs ont pu “potentiellement ne pas détecter cette présence (…) il ne faut pas oublier qu’on aurait pu aussi déposer les ossements par la suite” poursuit-elle.

10:08 – Le corps déplacé par des animaux sauvages ?

Ancien juge d’instruction et procureur de la République, Jacques Dallest a déclaré ce matin sur BFMTV que « tout est possible dans une affaire de cette nature. Il est possible d’envisager que des animaux sauvages aient déplacé le crâne de l’enfant, qui s’est vu dans d’autres cas », explique-t-il. En revanche, il n’exclut pas non plus l’hypothèse d’une « tierce personne ».

10h02 – Un coordinateur de scène de crime attendu

Ce lundi, des experts de l’institut criminel de la gendarmerie se rendent sur le lieu de la découverte des ossements pour analyser les lieux. Des gendarmes mobiles du département ainsi que des enquêteurs sont également attendus. Enfin, un coordinateur de scène de crime sera dépêché pour procéder « méthodiquement » a indiqué ce matin, Marie-Laure Pezant, porte-parole de la Gendarmerie nationale.

Neuf mois après sa disparition, les ossements du petit Emile ont été découverts samedi 30 mars 2024, près du hameau du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), a annoncé ce dimanche le parquet d’Aix-en-Provence. C’est un promeneur qui a découvert le crâne au sud du hameau, « tout comme les dents » indique Le Parisien. Les enquêteurs vont « déployer des moyens pour entreprendre des recherches complémentaires dans la zone géographique où (les ossements) ont été retrouvés » précise le parquet d’Aix-en-Provence. François Balique, maire de Vernet, a interdit l’accès aux personnes extérieures au hameau jusqu’au dimanche 7 avril prochain, à midi. Un arrêté municipal pris ce dimanche.

Ce lundi 1er avril 2024, le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) est bouclé par la police. De nouvelles fouilles et enquêtes commencent pour tenter de déterminer les circonstances de la mort du petit Emile. Au total, une centaine de gendarmes ont été engagés pour reprendre les recherches, a indiqué lundi la porte-parole de la Gendarmerie nationale, Marie-Laure Pezant. Des experts de l’institut criminel de la gendarmerie se rendent sur les lieux de la découverte des ossements du garçon pour « pouvoir analyser la zone de découverte », précise-t-elle. Des policiers mobiles sont également présents pour sécuriser les lieux et interdire l’accès au hameau suite à l’arrêté pris par le maire de la commune ce dimanche. Ces derniers sont déployés aux côtés des gendarmes et des enquêteurs et experts du département.

La gendarmerie scientifique poursuit ses analyses et une trentaine d’enquêteurs sont déployés sur zone. Par ailleurs, un coordinateur de scène de crime sera également dépêché, lit-on dans les colonnes du Parisien ce lundi, afin d’organiser différents niveaux de recherches et « procéder par méthode » explique Marie-Laure Pezant au micro de France Info. “Quand vous avez un corps qui est posé au sol, vous avez des éléments du sol qui permettent de savoir si le corps est là depuis un certain temps”, poursuit-elle, avant d’indiquer que les analyses “peuvent être longues”. « Nous continuons à exploiter toutes les pistes » conclut-elle.

 
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