Cette étonnante marque de bijoux a des prix qui varient en fonction du prix de l’or ! – .

Cette étonnante marque de bijoux a des prix qui varient en fonction du prix de l’or ! – .
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La première chose que vous remarquez lorsque vous vous connectez aue-boutique de Dirigé, ce sont les couleurs. Même à travers l’écran, les bijoux brillent. La seconde concerne les prix. A côté d’eux, des flèches montent et descendent et les sommes fluctuent sous nos yeux. C’est le concept unique de cette marque de bijoux qui bouscule les codes : des pièces en or pur 24 carats ou en platine, avec un prix évolutif en fonction du prix de ce dernier. L’idole folle est née de la rencontre entre Diana Widmaier Picasso, historienne de l’art (et petite-fille de l’illustre artiste) et Roy Sebag, jeune entrepreneur. « Lorsque nous avons créé la marque il y a dix ans, cet ami qui était dans le monde de l’or depuis très longtemps m’a demandé si je serais intéressé de créer avec lui une marque dont le concept s’articule autour de deux matières, l’or et le platine. . J’ai tout de suite aimé ce défi”nous dit, autour d’un café, Diane Widmaier Picasso.

L’or pur, un défi très luxueux

Le défi est bien réel. Parce que travailler uniquement avec des matières premières, notamment de l’or pur 24 carats, n’est pas courant dans la joaillerie occidentale qui préfère habituellement, pour les pièces de luxe, l’or 18 carats (75% d’or pur et 25% d’autres matériaux). « Quand on pense bijoux, on pense immédiatement à des accumulations de pierres, de diamants et de différents matériaux. Peut-être parce que j’ai étudié l’histoire de l’art et que j’étais très informé sur la façon dont l’or a été utilisé à travers les civilisations, à travers les siècles, j’ai tout de suite été très stimulé par ce défi qui pouvait paraître complexe”, rappelle Diana Widmaier Picasso qui cite l’amour des anciens Égyptiens et Grecs pour cette voie très particulière. « Les Égyptiens croyaient à l’immortalité de la matière, c’est pourquoi ils la portaient. Il y a évidemment la couleur qui brille mais il y a aussi, curieusement, un sentiment de puissance qui se dégage lorsqu’on porte de l’or… »

L’or pur était aussi un défi pour les artisans. « Il y a d’autres pays comme l’Inde ou la Chine qui ont l’habitude de travailler avec du 24 carats. Mais ce qui était intéressant, c’est qu’en Europe, aux États-Unis ou au Canada, ils avaient perdu cette habitude. Il a fallu aller à l’encontre de cette vieille conception selon laquelle l’or est trop mou, trop fragile. » “Enfin, dix ans plus tard, on constate que les possibilités du matériau sont infinies”elle admet.

Des bijoux à des prix qui changent avec le prix de l’or

Ensuite, ce sont les questions des clients auxquelles nous avons dû faire face, notamment face à ceux qui se retrouvent désorientés par les prix qui changent directement. « On a l’impression que c’est simple mais c’est tellement simple que c’en est dérangeant ! Le concept est la transparence des prix. On ne peut donc pas réduire la marge. Il représente une conception, un processus de fabrication, notre atelier, les personnes que nous employons. C’est un coût assez colossal finalement réduit à 25%», explique le designer. Le reste, le coût de la matière première, s’ajoute en temps réel au prix d’achat. « Nous proposons même de racheter nos bijoux au prix du poids d’or. Évidemment, les gens qui les ont achetés il y a dix ans vont gagner beaucoup d’argent. Mais heureusement, nous avons remarqué que beaucoup de nos clients souhaitent les conserver. Une attitude qui correspond à la volonté de la marque : celle de créer investissements en bijoux.

Un joyau en or pour toujours

« Les bijoux véhiculent toujours des histoires. Quand on parlait de la marque, chacun me racontait des souvenirs de son grand-père, de sa grand-mère, de la bague qui se transmettait de génération en génération. C’est aussi l’idée de Mené : rompre avec l’idée du bijou fantaisie, du bijou éphémère. C’est un joyau qui est là pour rester, à transmettre de génération en génération. Une réelle prise de conscience de la valeur intrinsèque », rappelle-nous Diane Widmaier Picasso. Que l’on succombe à des pièces plus ou moins imposantes aux formes pensées pour être intemporelles, aux petits porte-bonheurs et autres grigris ou encore aux médailles conçues pour les chiens, l’idée est que notre objet précieux prenne en même temps une valeur monétaire. au fil du temps, en plus de la valeur sentimentale qui lui est accordée. Nous n’avons jamais été du genre à penser à la finance, mais un investissement qu’on peut porter autour du cou, ça nous parle…

 
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