nouveau rebondissement dans l’affaire, le suspect bientôt condamné ? – .

nouveau rebondissement dans l’affaire, le suspect bientôt condamné ? – .
Descriptive text here

BFMTV a révélé que la deuxième expertise psychiatrique réalisée en janvier dernier sur la principale suspecte du meurtre de la petite Lola, Dahbia B., a conclu que son discernement n’était ni aboli ni altéré au moment des faits. Un résultat qui ouvre les portes d’un futur procès du suspect.

En octobre 2022, la France entière était choquée par une terrible nouvelle, le meurtre de la petite Lola, 12 ans, dont le corps a été retrouvé dans une malle d’un immeuble proche de son domicile dans le 19e arrondissement de Paris. Un terrible drame qui a rapidement conduit les enquêteurs sur la piste de la principale suspecte, Dahbia B. qui a été interpellée par la police. Plus tard, les examens de l’adolescente ont révélé qu’elle avait été torturée puis violée avant de succomber à une mort certaine par asphyxie.

Les parents de la petite Lola, profondément affectés par la perte de leur enfant, se séparent puis prennent la décision de quitter la capitale. Alors que son père, Johan Daviet, vivait depuis plusieurs mois avec sa mère dans le Pas-de-Calais, l’homme a perdu la vie le 23 février. Un nouveau drame qui touche cette famille déjà profondément endeuillée, dévastée, la grand-mère de la petite Lola. et la mère de Johan Daviet ne doute pas que la mort de son fils soit due à la perte de sa fille bien-aimée. Près d’un mois après sa mort, BFMTV vient de révéler que la principale suspecte, Dahbia B., pourrait prochainement être jugée devant le tribunal.

La conclusion de la deuxième expertise psychiatrique de Dahbia B. rendue

Si dans un premier temps Dahbia B., la suspecte a nié son implication dans le meurtre de la petite Lola, elle a ensuite livré de nombreux témoignages contradictoires avant de passer aux aveux une fois pour toutes. Des révélations qui ont conduit le suspect de 26 ans à être mis en examen pour « meurtre sur mineur de moins de 15 ans accompagné de viol », « torture ou actes barbares », « viol sur mineur avec torture » Et ” actes barbares « .

Incarcérée à l’établissement pénitentiaire de Fresnes puis à l’unité pour malades difficiles de Villejuif, une contre-expertise psychiatrique a été demandée en son nom pour déterminer si son discernement n’était ni altéré ni aboli au moment des faits.BFMTVa ensuite révélé ce jeudi 21 mars 2024 que les conclusions ont bien été rendues dans un rapport de 31 pages qui indique que Dahbia B. n’était pas «souffrant, au moment des faits, d’un trouble psychologique ayant aboli ou altéré son discernement et la maîtrise de ses actes« . Selon les résultats de cette expertise, le suspect serait donc «accessible à une sanction pénale et peut répondre de ses actes devant un tribunal» comme l’indiquait déjà la première expertise psychiatrique en décembre 2022.

Dahbia B. ne souffre d’aucun trouble psychiatrique

Ce sont deux experts mandatés par le juge d’instruction qui se sont chargés de cette deuxième expertise psychiatrique en rencontrant le suspect à trois reprises au cours de l’année 2023. Des rencontres qui ont abouti à une certitude : Dahbia B. ne souffrait d’aucun trouble psychiatrique au moment de l’enquête. meurtre de la petite Lola, 12 ans. Des doutes sont nés après que plusieurs sources ont indiqué que la suspecte souffrait de troubles altérant son discernement et remettant en cause sa responsabilité pénale.

Dans leur rapport, les experts affirment que Dahbia B. est toujours incapable d’expliquer les raisons de son geste : «Elle reconnaît les faits allégués, mais éprouve des difficultés à identifier les motivations», certains échanges avec le suspect ont également été rapportés : «Je ne sais pas pourquoi j’ai écrit « zéro » et « un » sur ses pieds vernis de rouge (…) J’ai réalisé que j’avais tué quelqu’un (…) Je n’avais pas de raison de faire ça… Avec le recul, j’ai compris que c’était dû m’a fait du bien.» S’il a été révélé que la jeune femme consommait de fortes doses de cannabis, ce sujet a également été abordé par les experts : «Nous n’avons trouvé aucun élément permettant de démontrer que l’intéressé aurait pu souffrir d’un trouble psychiatrique aigu révélé par la consommation de cannabis au moment des faits.« . Il s’agit donc uniquement de «la personnalité de la jeune femme» ce qui est remis en cause par les deux experts qu’ils appellent «pathologique sévère» accompagné d’un «danger criminologique élevé« . Selon les conclusions de cette expertise, Dahbia B. peut donc comparaître devant une cour d’assises.

Les gens? Tout un monde ! Passionnée par les médias, les réseaux, les séries, les films et les enquêtes d’investigation en tout genre, c’est tout naturellement que Jessica se tourne vers l’écriture et qu’elle prend…

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Le budget de plusieurs milliards de dollars du comté – Comment ça marche – Centre de presse du comté de San Diego – .
NEXT le blocus de Sciences Po Paris levé vendredi soir après une journée de tension