– Rod Stewart agit cool – et à la limite du trash
Il y a toujours quelque chose de brillant : le Britannique a livré des tubes de plus de 50 ans au Hallenstadion. Officiellement pour la dernière fois.
Publié aujourd’hui à 12h06
Rod Stewart au Hallenstadion de Zurich : Plus la soirée est avancée, plus sa chemise est ouverte.
Photo : Urs Jaudas
Abonnez-vous maintenant et bénéficiez de la fonction lecture.
BotTalk
Peu de surprises : Sir Rod Stewart annonce 25 chansons, deux heures de temps de jeu, et grâce à la projection des titres, on sait toujours où l’on se trouve et à qui l’on rend hommage. Car c’est ce qui reste de ce grand concert : le vieux rocker ne se met pas au centre, mais ses compagnons et amis d’autrefois. Il ne fait aucune distinction entre les vivants et les morts ; on voit à un moment une photo de Tina Turner (« It Takes Two », qu’il a interprétée avec elle), Christine McVie de Fleetwood Mac (décédée l’année dernière), les idoles blues de Stewart des années 60 ou Elton John (avec qui il ne parle apparemment plus, mais avec qui il a joué au foot dans les années 70).