La Géorgie crée la sensation face au Portugal et se retrouve en huitièmes de finale – .

La Géorgie crée la sensation face au Portugal et se retrouve en huitièmes de finale – .
La Géorgie crée la sensation face au Portugal et se retrouve en huitièmes de finale – .

La Géorgie déjoue le Portugal.Image: clé de voûte

La Géorgie a réalisé ce que l’on croyait difficilement possible : l’invité surprise du Championnat d’Europe s’est également qualifié pour les huitièmes de finale grâce à une victoire 2-0 contre les Portugais, déjà qualifiés pour les huitièmes de finale.

26.06.2024, 23:0426.06.2024, 23:08

Avec la bonne attitude, on peut déplacer des montagnes ou faire disparaître une différence de 68 places au classement mondial. Pour sa première finale, la Géorgie, 74e au classement FIFA, a offert un spectacle. Avec un effort énorme et des joueurs exceptionnels à l’avant comme à l’arrière, l’équipe de l’ancien international français Willy Sagnol a fait tomber l’équipe B du Portugal, dont Cristiano Ronaldo faisait partie.

La première avance pour la Géorgie.Vidéo : SRF

Le scénario de Gelsenkirchen, où Schalke 04 écrit habituellement les drames, était parfait pour la Géorgie. Moins de 90 secondes s’étaient écoulées lorsqu’Antonio Silva a effectué une mauvaise passe, que Georges Mikautadze et le buteur Chwitscha Kwarazchelia ont utilisé pour porter le score à 1-0. À la 57e minute, les Géorgiens ont doublé leur mise avec un penalty que l’arbitre schwytzois Sandro Schärer a accordé à juste titre après un signalement de l’arbitre vidéo Fedayi San. Mikautadze, né à Lyon, en France, a été le premier joueur à marquer son troisième but dans le tournoi.

Outre la superstar napolitaine Kwarazchelia et le buteur Mikautadze du FC Metz, le gardien Giorgi Mamardashvili mérite une mention spéciale de la part de l’équipe géorgienne. Le gardien du FC Valence a également brillé contre le Portugal et a empêché plusieurs fois un but lorsque la défense serrée des outsiders a permis aux Portugais de marquer.

La réaction des joueurs, qui semblaient de plus en plus frustrés, a montré à quel point la deuxième équipe du Portugal – également très bien payée – s’était peu attendue à cette résistance. Ronaldo a reçu un carton jaune en première mi-temps pour s’être plaint. Schärer avait plus à faire et a dû prendre des décisions plus difficiles que ne l’auraient suggéré la position de départ dans ce groupe et les rôles clairement assignés dans ce match.

Mikautadze augmente depuis le point de penalty.Vidéo : SRF

Alors que le Portugal, battu pour la première fois sous la direction du sélectionneur national Roberto Martinez, était surpris, la Géorgie était visiblement préparée au coup d’État. Ils se sont battus sur chaque mètre derrière et, avec le ballon aux pieds, ils ont toujours cherché à avancer rapidement devant le but portugais. Le succès fut total et récompensé par une place en huitièmes de finale face à l’Espagne. La victime de l’exploit de la Géorgie est la Hongrie, qui autrement aurait atteint les huitièmes de finale en étant l’une des meilleures troisièmes du groupe.

Le compte-rendu de l’autre match :

Géorgie – Portugal 2:0 (1:0)
Gelsenkirchen. – 49 616 spectateurs. – Arbitre Schärer (SUI).
Déchiré : 2. Kwarazchel 1:0. 57. Mikautase 2:0.
Géorgie: Mardaschwili; Kakabadse, Gwelesiani (76. Kwerkwelia), Kaschia, Lotschoschwili (57. Zitaischwili), Dwali ; Tschakwetadse (81. Mekwabischwili), Kotschoraschwili, Kiteischwili ; Mikautadse, Kwarazchelia (81. Dawitaschwili).
Le Portugal: Côte; Dalot, Danilo, Silva (66. Semedo), Inácio ; Neto (75. Diogo Jota), Palhinha (46. Palhinha), Neves (75. Matheus) ; Conceiçao, Ronaldo (66. Ramos), João Félix.
Remarques: La Géorgie est terminée. Le Portugal sans Rafael Leão (suspendu).
Avertissements: 28. Ronaldo. 44. Netto. 53. Névès. 85. Mekwabischwili. (abu/sda)

Il y a une grande partie de l’Italie dans l’équipe nationale suisse. Remo Freuler, qui évolue en Serie A depuis près de huit saisons, attend avec impatience un duel en huitièmes de finale qui n’est pas spécial seulement pour lui (samedi, 18 heures).

Mercredi, on parlera beaucoup italien à Stuttgart. Après presque sept ans à Bergame et maintenant un an à Bologne, Remo Freuler n’a aucun mal à répondre aux questions des journalistes italiens (et tessinois) dans la langue nationale. Une chose semble particulièrement importante pour le joueur de 32 ans. « L’Italie est la favorite », souligne-t-il. Pas besoin d’explications supplémentaires, car « l’Italia è l’Italia ». Basta.

 
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