Un adolescent a percuté un contrôle de police avec une moto modifiée. Son père a tenté d’éviter les conséquences en manipulant le véhicule.
Un jeune a été arrêté lors d’un contrôle routier avec un cyclomoteur trafiqué. La police a constaté que le scooter, un Puch Maxi S, atteignait une vitesse supérieure à celle autorisée grâce à des pièces non autorisées. Le père du garçon, un Argovien de 44 ans, a alors tenté de tromper la police afin d’épargner à son fils une punition, rapporte l’« Aargauer Zeitung ».
Fin mars, la police régionale de Lenzbourg a procédé à un contrôle routier au cours duquel le cyclomoteur déguisé a été saisi et emmené dans un garage pour examen.
Le père de l’agresseur, qui n’était apparemment pas d’accord avec la procédure policière, s’est rendu à l’atelier le même jour. Là, il apporta lui-même des modifications à la machine afin de masquer l’augmentation de puissance.
Frais consécutifs de plus de 4700 francs
Tout d’abord, le père a remplacé les gicleurs du carburateur, mais cela n’a eu que peu d’effet. Pour réduire davantage la puissance, il a équipé un filtre à air avec un tuyau d’air frais rétréci. Ces manipulations devaient entraîner une perte de pouvoir, comme le précise l’ordonnance pénale.
Le ministère public a condamné le père pour favoritisme à une peine pécuniaire de 30 jours avec sursis, à une amende de 110 francs, ce qui représente un total de 3.300 francs, ainsi qu’à une amende de caution de 600 francs. En outre, des frais et débours s’élevant à 835 francs ont été engagés.
Une procédure distincte est en cours contre le fils devant le tribunal pour enfants.
L’éditeur a écrit cet article avec l’aide de l’IA.
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