Les Galaxy S25 ne seraient pas trois, mais quatre. La rumeur veut que Samsung s’apprête à lancer une version Slim de son smartphone haut de gamme.
Il y a quelques jours, le site coréen ETNews faisait état d’un quatrième modèle de la prochaine gamme Galaxy S25. SmartPrix a mis la main sur la dernière mise à jour de la base de données GSMA IMEI qui répertorie désormais un smartphone Samsung identifié sous le nom de code SM-S937U.
Un Galaxy S25 Slim pour attaquer l’iPhone 17 Air
Vous n’avez pas besoin de deviner pour voir qu’il s’inscrit dans la gamme S25, il suffit de comparer les noms de code :
- Galaxy S25 : SM-S931,
- Galaxy S25 Plus : SM-S936,
- Galaxy S25 Ultra : SM-S938.
Le SM-S937 se situerait donc entre le S25 Plus et le S25 Ultra. Son suffixe U indique qu’il est destiné au marché américain. Pas de nom officiel pour ce smartphone, mais on a de fortes chances de penser qu’il s’agirait d’un modèle épuré.
Le mobile ? Eh bien, Apple prépare également un iPhone 17 Air ou un iPhone 17 Slim pour fin 2025. Rester au plus près de la concurrence est une stratégie efficace et courante sur le marché de la téléphonie. Surtout quand il s’agit d’Apple et de Samsung.
SmartPrix avance également une date de lancement présumée pour ce Galaxy S25 Slim. La GSMA publiant ses dossiers 6 à 7 mois avant le lancement d’un produit, celui-ci devrait arriver dans le courant du deuxième trimestre 2025. En retard donc sur les trois autres Galaxy S25 attendus pour janvier.
Snapdragon 8 Elite ou Exynos 2500 ? La question demeure
Rappelons que tous ces smartphones, hormis le S25 Ultra, se posent encore des questions sur la puce qui les équipera. On a tout dit et son contraire : Snapdragon 8 Elite, Exynos 2500, Mediatek 9300. On ne sait plus vers où se tourner.
Le modèle le plus cher sera privilégié par Qualcomm. En revanche, pour d’autres, on a récemment parlé d’un mix entre Snapdragon et Exynos. Si tel est le cas, l’Europe fait souvent les frais des modèles dotés d’une puce Samsung, jugée moins puissante que l’actuel Snapdragon.
Donnons néanmoins à Samsung le bénéfice du doute. Google nous a prouvé avec ses Tensors que l’on pouvait produire de bons smartphones haut de gamme sans utiliser de composants performants. Reste la question de la remise qui touche davantage Samsung en Exynos que en Snapdragon.
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