Avi Loeb, l’astrophysicien américano-israélien fantasque et controversé, est de retour dans nos pages. Après vous avoir parlé de sa mission au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, visant à repêcher des soi-disant restes de technologie extraterrestre, nous avons partagé avec vous les résultats d’une étude sur les fameuses sphérules récupérées au fond de l’océan Pacifique, en disant était sûrement un déchet industriel d’origine humaine.
Sauf que cette histoire n’est pas tout à fait terminée. Si l’on en croit un nouvel article publié par Universe Today, un média en ligne nord-américain spécialisé en astronomie, ces sphérules sont bien plus intéressantes qu’on ne le pensait et seraient le résultat d’un impact météoritique remontant à près de 790 000 ans.
Partir du principe selon lequel on trouve des restes « extraterrestres » sur Terre est loin d’être absurde, surtout si l’on inclut les restes de météorites et d’astéroïdes dans cette définition. C’est d’ailleurs une météorite qu’Avi Loeb recherchait lors de son expédition de 2014.
La composition inhabituelle des éléments récupérés au point d’impact supposé était certainement intrigante. La répartition des isotopes dans la composition des petites sphères était inhabituelle et donc potentiellement d’origine interstellaire, ce qui ne permet évidemment pas de conclure à l’existence de vestiges de technologie extraterrestre comme l’a fait le chercheur.
Origine locale
Plusieurs réserves pourraient être émises sur les conclusions d’Avi Loeb et de son équipe, notamment parce qu’il n’existe aucune preuve que les sphérules proviennent réellement de la météorite tombée sur Terre en 2014, dans l’océan Pacifique, au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. .
Révélée le 8 mars par Steve Desch, astrophysicien et professeur à l’Arizona State University, une nouvelle étude a voulu aller au fond des choses et les conclusions offrent une nouvelle piste.…
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