Le verdict des partisans est tombé sans pitié ce soir : Juraj Slafkovsky, censé incarner l’avenir du Canadien de Montréal, est aujourd’hui le bouc émissaire d’une équipe à la dérive après la défaite (5-3) contre les Diables de Montréal. New Jersey.
La cinquième défaite consécutive et la neuvième en onze matches a laissé les supporters en colère, et, comme à chaque soir de désillusion, c’est sur les réseaux sociaux que cette colère trouve son exutoire.
Pour ces supporters exaspérés, le Slovaque, plus occupé par ses campagnes publicitaires que par ses performances sur la glace, est la cause évidente de cette déroute.
Les commentaires affluent, cinglants, acerbes, alors que la toile est impitoyable.
« Il faut mettre ces joueurs sur le banc. Aucun sentiment d’urgence, c’est pathétique. J’enverrais même Dach dans les tribunes pour le prochain match. Ce gars ne fait rien en première ligne et perd la rondelle à chaque mauvaise décision. »
Mais Slafkovsky ne s’en sort pas mieux.
« Slaf a encore trouvé un moyen de se traîner ce soir, mais tant qu’il est payé, pourquoi se pousser ? Une publicité McDonald’s plus ou moins, c’est tout ce qui semble compter. »
Et les comparaisons dégradantes pleuvent.
« Je joue toujours comme un ‘fraichierr’. Ce type est plus occupé à compter ses 100 000 $ chez McDonald’s qu’à jouer sur la glace. »
Un talent sous-performant… un joueur devenu symbole d’échec collectif…
Au centre des critiques, la question de la motivation de Slavkovsky. Depuis qu’il a signé son nouveau contrat de 8 ans, d’une valeur de 7,6 millions de dollars par an et qu’il a reçu ses gros cachets publicitaires de McDonald’s, ses performances sont un peu plus fluides chaque soir.
Son attitude sur la glace, décrite comme molle et désengagée, devient le point de départ de toutes les discussions animées.
Le public n’a pas la même patience :
« Une faillite ? Cette histoire va se terminer comme Galchenyuk, nous le savons tous. » dit un fan amer. “
On aurait dû prendre Logan Cooler à sa place, un vrai leader colérique. Et même s’il est petit, Cooley n’est pas du genre à fuir le contact comme Slafkovsky.»
Les critiques qui comparaient récemment Slafkovsky à Joel Armia refont surface.
Pour les fans, cette comparaison avec Armia n’est plus un simple constat : elle est devenue un surnom méprisant pour Slafkovsky, qui s’appelle Armia 2.0 sur les réseaux.
Encore un grand gars plein de talent, mais doux comme une vieille éponge », visiblement fatigué des excuses du staff pour défendre les progrès de Slafkovsky.
La frustration des fans a atteint un tel niveau qu’ils rêvent désormais d’un échange contre Brady Tkachuk.
Cette suggestion, rêve impossible, devient une demande quasi collective.
“Nous voulons des joueurs qui se battent, pas des gars qui glissent comme dans une publicité de McDonald’s !” »
Les mots les plus durs viennent de ceux qui, déçus par le Canadien depuis des années, voient cette saison comme une éternelle répétition de mauvais choix et de jeunes joueurs sous-performants.
« Premier au classement général 2025, c’est une vraie possibilité pour le CH, les gars… C’est là où nous en sommes. »
Le désespoir est évident. Le sort de Slafkovsky semble presque scellé aux yeux de nombreux partisans, qui n’hésitent pas à le qualifier de « prima donna » ou d’« étudiant de première année » avec un mépris évident.
Ils reprochent au jeune joueur non seulement ses performances, mais surtout son manque de combativité et d’humilité, un défaut impardonnable dans une ville aussi passionnée que Montréal.
Chaque défaite renforce l’impression que Slafkovský n’est pas le joueur attendu. Sa publicité McDonald’s, signe de reconnaissance, est devenue un rappel constant de ses priorités qui ne sont pas à la bonne place.
Pour certains fans, il est clair que le jeune Slovaque a laissé la gloire faire des ravages.
La malédiction de McDonald’s semble frapper une fois de plus.
À chaque présence comme s’il ne voulait pas se casser un doigt, les attentes non satisfaites s’accumulent, le ressentiment se propage à travers la province et la patience des partisans s’amenuise.
Le ciel semble tomber sur la tête de Slafkovsy, dont le rêve de devenir un héros à Montréal s’est transformé en cauchemar.
8 années supplémentaires à 7,6 millions de dollars par an. Nous espérons qu’il arrêtera de se botter les fesses.
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