Malo est le sponsor maillot du Stade Brestois en Ligue des Champions. Pouvez-vous déjà mesurer l’impact de cette exposition médiatique pour la marque ?
L’effet direct est difficile à mesurer. Avec le groupe Sill, nous menons depuis plusieurs années un travail en profondeur à Malo, sur différents supports et en accompagnant de nombreux clubs et sportifs bretons. Le parcours du Stade Brestois en Ligue des Champions est la cerise sur le gâteau. Ce que je peux vous dire, c’est que, fin octobre, nous avons enregistré des avancées très intéressantes sur le territoire national, que ce soit pour les ventes de desserts ou de yaourts. Et cela dans un marché stable, voire en baisse. On peut faire l’analogie entre Malo qui lutte contre de grandes marques, comme Yoplait ou Nestlé, et le Stade Brestois qui affronte les meilleures équipes européennes. Le fameux « petit mais fort » !
Que représente pour vous l’investissement réalisé cette année ?
Il s’agit d’un effort conséquent par rapport à une année type, presque le double des montants habituellement alloués. Au-delà de l’effort financier, c’est aussi un effort commercial. Nous invitons de nombreux clients à chaque match de Ligue des Champions. Ils seront une quarantaine à nous accompagner à Barcelone. Ces matchs sont l’occasion de remercier les distributeurs, qui nous donnent accès au grand public, mais aussi les partenaires financiers, sans qui nous ne serions pas grand chose.
(Groupe Sill)
Les matches de Ligue des Champions sont-ils l’occasion de signer de nouveaux contrats ?
Nous ne sommes pas vendeurs de pots Malo en Espagne. Cela vous fera sourire, mais « malo » signifie « mauvais » en espagnol. Plus sérieusement, nous avons sollicité de futurs partenaires que nous rencontrerons ce mardi. Il y a donc un double défi avec ce voyage : soutenir notre équipe et faire des rencontres de haut niveau en Espagne. Apparaître sur le maillot de l’équipe qui affronte Barcelone donne de la crédibilité.
Je répondrais en regardant le passé. Ce partenariat, c’est aussi une histoire d’amitié entre le président du groupe Sill, Gilles Falc’hun, et les frères Le Saint. Avec l’idée que nous pouvons nous entraider pour faire de grandes choses ensemble et défendre les valeurs de notre territoire. Le groupe Sill a toujours été là pour la croissance du Stade Brestois. Nous sommes déterminés à continuer. Avec humilité, mais avec une certaine ambition. Jusqu’à présent, cela n’a pas trop mal fonctionné.
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