Hockey30 | Louis Morissette reconnu coupable

Nous pensions qu’il avait retenu la leçon. On croyait que son mea culpa maladroit, où il s’excusait sans enthousiasme après des mois à démolir Lane Hutson, Nick Suzuki et l’ensemble des Canadiens de Montréal, marquait un tournant.

Mais non. Louis Morissette est de retour, plus cynique et bougon que jamais.

Son dernier épisode du podcast Poire et Fromage Ce fut une véritable descente aux enfers où il s’est empressé de détruire toutes ses excuses en continuant d’attaquer les joueurs du CH.

Avec son arrogance habituelle, Morissette s’en est une fois de plus attaqué à Lane Hutson, à qui il avait récemment fait des vœux pieux.

Après un match difficile contre les Maple Leafs, il n’a pas hésité à l’écraser à nouveau, ravivant ses vieilles critiques.

«J’ai reçu un cadeau. J’ai donc reçu un cadeau de mon ami Jean-Philippe (un pull Lane Hutson qu’il portait avec dégoût). Monsieur moins 5. »

Ce surnom méprisant pour Hutson, une référence à son différentiel du dernier match, démontre à quel point Morissette ne peut s’empêcher de sauter à la gorge de ceux qu’il a déjà ciblés.

Le défenseur, bien qu’il soit le chouchou des supporters et candidat au Trophée Calder, doit encore subir ses attaques.

Et comme si cela ne suffisait pas, Morissette enfonce le clou en répétant que le jeune défenseur ne sera jamais à la hauteur des attentes, qu’il possède un « tir bantam A » et que son coup de patin est tout simplement médiocre. .

Si Hutson était encore une fois sa victime préférée, Morissette a aussi trouvé un nouveau bouc émissaire en la personne de Jacob Dobes, la révélation dans les buts du Canadien.

Là où les partisans voient une bouffée d’air frais et d’espoir, Morissette n’y voit qu’un mirage.

« Vous manquez de respect à Montembeault. Dobés ? Je ne dis pas qu’il est mauvais, mais il n’a joué que cinq matchs. Calme-toi. »

Ses moqueries ne s’arrêtent pas là. Il a souligné à plusieurs reprises ce qu’il considère comme un défaut dans son jeu, en disant :

« Il laisse tout passer au niveau des bloqueurs bas. Il est grand, mais il s’effondre au sol. Cela finira par se montrer. »

Pour Morissette, le gardien tchèque n’est qu’un feu de paille, et il n’hésite pas à le souligner avec son ton condescendant habituel.

Et qu’en est-il de Nick Suzuki, la cible récurrente de Morissette ? Son mea culpa en janvier, où il a admis à contrecœur que Suzuki jouait mieux, n’a été que passager.

« Pour moi, Suzuki est l’un des joueurs les plus surfaits de la LNH. Oui, il produit, mais il ne fait pas gagner une équipe. »

Même après avoir fait preuve d’une constance remarquable cette saison, Suzuki demeure, pour Morissette, un joueur indigne de son statut de capitaine.

Il continue d’insister sur le fait qu’il « n’a pas l’étoffe d’un vrai leader », et selon lui, « il n’est pas un premier centre pour une équipe qui veut gagner. »

Pourquoi Morissette est-elle si amère ?

Mais qu’est-ce qui pousse Louis Morissette à attaquer les Canadiens de Montréal avec une telle agressivité ?

Autrefois apprécié pour son humour et sa vivacité d’esprit, il est aujourd’hui perçu comme le « grincheux du Québec ». Il ne laisse aucun répit à l’équipe, même lorsqu’elle performe au-delà des attentes.

Ses détracteurs se posent la question : est-il un personnage médiatique, une simple stratégie pour faire parler de lui, ou est-il vraiment devenu cet oncle amer qui ne peut s’empêcher de déverser son culot sur une organisation qu’il semblait autrefois apprécier ?

Le problème est que Morissette, avec son immense plateforme médiatique, influence négativement l’opinion publique.

Il empêche les partisans de simplement profiter du parcours du CH en remettant constamment en question chaque succès avec cynisme et condescendance.

« Ils ne participeront pas aux séries éliminatoires. Ils seront dépassés par les Rangers. Ils repêcheront le 15-16ème, alors tout le monde sera déçu. »

Le pire dans tout ça ? Morissette ne semble même pas s’en rendre compte. Pour lui, critiquer est devenu automatique.

À croire qu’il préfère que le Canadien échoue, simplement pour pouvoir dire : «Je vous l’avais bien dit. »

Sur les réseaux sociaux, les réactions sont unanimes : les supporters du Canadien n’en peuvent plus. Chaque sortie de Morissette est une douche froide sur l’enthousiasme ambiant.

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Plutôt que de reconnaître les efforts et les progrès de l’équipe, il trouve toujours le moyen de les rabaisser.

Les critiques sont nombreuses :

• « Avant, Morissette était un gars drôle. Là, il est tout simplement insupportable. »

• « Il détruit Hutson, puis s’excuse, puis recommence. Quel est son problème ? »

• « Le CH va bien, on s’amuse, mais il se plaint encore. Cela devient ridicule. »

La patience des Québécois s’effrite et l’exaspération grandit. Louis Morissette, autrefois adulé pour ses talents d’acteur, d’humoriste et de producteur, devient peu à peu un médiatique mal-aimé qui ne semble plus en phase avec le public qu’il avait conquis.

Alors que Morissette continue d’attaquer le CH, une question se pose : peut-il encore être pris au sérieux ? Chaque nouvelle version érode encore davantage sa crédibilité.

Ses excuses semblent tellement fausses, ses critiques sont redondantes et son obsession de tout détruire le rend de plus en plus antipathique.

Il est temps pour lui de se poser une question essentielle : veut-il être un commentateur pertinent et nuancé, ou simplement « l’oncle amer » du Québec ?

En attendant, une chose est sûre : les fans du Canadien ont décidé d’aller de l’avant, avec ou sans lui.

Si l’on pensait que Louis Morissette avait touché le fond avec ses critiques inconfortables envers les Canadiens de Montréal, il a prouvé que sa capacité à dénigrer l’équipe semblait inépuisable.

Ses plus récentes déclarations, pleines de mépris et d’arrogance, confirment ce que tout le Québec soupçonne déjà : Morissette ne veut pas que le Canadien réussisse, et il est prêt à tout pour maintenir sa position de « haineux en chef ».

« Nous n’avons aucune défense ! Nous n’avons aucune défense ! Il n’y a pas un défenseur là-dedans qui jouerait pour une autre équipe. »

Cette déclaration, faite avec une assurance déconcertante, prouve à quel point Morissette est déconnecté de la réalité.

Le CH, actuellement en course aux séries éliminatoires, compte en grande partie sur la solidité de sa brigade défensive dirigée par Kaiden Guhle et Lane Hutson. Mais dans le monde tordu de Morissette, les faits n’ont pas d’importance.

Ce qui est le plus choquant, ce n’est pas sa critique de Hutson, mais l’acharnement pathologique avec lequel il le fait.

Non content d’insulter la performance du jeune défenseur, Morissette est allé encore plus loin, critiquant ouvertement son patinage en déclarant :

« Il rame, il rame, il rame. L’avez-vous vu ? Il rame sur la glace, ce n’est pas possible ! »

Et visiblement, il méprise les fans autant que Jakub Dobes.

« Non, mais les fans m’énervent. Après cinq matchs, ils sont déjà prêts à lui ériger une statue. »

Le plus triste dans toute cette saga, c’est que Louis Morissette était autrefois une figure adulée du public québécois, un créateur de talent qui a marqué l’histoire de la télévision avec sa série CA.

Mais aujourd’hui, son obsession malsaine à critiquer les Canadiens de Montréal l’a transformé en un personnage insupportable et totalement déconnecté du public.

Cette transformation de l’acteur en « oncle grincheux » est devenue un problème, non seulement pour lui, mais pour tout le Québec qui ne comprend plus pourquoi il ne peut pas simplement lâcher prise et profiter des succès du Tricolore.

Après des mois à bousiller les joueurs du Canadien, à se moquer des partisans et à jouer au connaisseur arrogant, une chose est claire : Louis Morissette est reconnu coupable d’être le plus gros emmerdeur du sport québécois.

Il a tout essayé : se cacher, revenir, s’excuser à moitié, puis se replonger dans ses critiques, mais la réalité est simple : le Québec n’en peut plus.

Il semble qu’il apprécie chaque défaite canadienne comme une victoire personnelle, juste pour prouver qu’il avait raison.

Son nom n’évoque plus le rire, mais l’irritation. Le Québec ne le supporte plus.

Le verdict est sans appel : Louis Morissette est reconnu coupable d’être le gars le plus désagréable du Québec.

 
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