Saviez-vous que Les Islanders de Patrick Roy réalisent l’un des pires jeux de puissance de l’histoire ? Et pourtant c’est le cas.
Depuis le début de la saison, les Islanders tournent à 10,5%. Depuis que les statistiques en avantage numérique ont été comptées (1977), cela pourrait devenir la cinquième pire note de l’histoire.
Aie.
Parce que les Islanders n’ont que 2,44 occasions par match, cela signifie que le club marque, en moyenne depuis le début de la saison, un but en quatre matchs en jeu de puissance.
Ce n’est pas suffisant.
Les Islanders, qui ont également le pire taux d’infériorité numérique de la LNH (65,6 %), accordent plusieurs buts en infériorité numérique par semaine, mais à l’inverse, ils ne marquent pas lorsqu’ils en ont l’occasion.
Cela peut expliquer clairement l’état du classement.
Le problème est qu’à l’heure actuelle, le jeu de puissance des représentants du longue île est pire que d’habitude. Le club est à 0 sur 25 récemment, ce qui amène tout le monde à s’interroger.
Les gars veulent s’en sortir et le coach aussi. Mais devant les médias, Patrick Roy ne panique pas.
-Il faut se faire confiance et faire confiance aux gars qui sont en place. –Patrick Roy
Lou Lamoriello, qui a amené Roy l’an dernier pour créer une étincelle, doit se demander ce qu’il doit faire pour aider son équipe. Après tout, à l’heure actuelle, les insulaires ne sont pas #DanseLeMix série.
Les Islanders n’ont pas un grand club, ils n’ont pas un avenir brillant… et ils n’ont pas marqué en avantage numérique à domicile depuis 30 Novembre. Disons que rien ne va plus.
En rafale
– Ivan Demidov sur le premier trio.
– Que dites-vous?
– Renaissance à Montréal, c’est possible. [TVAS]
– Veuillez noter.