Dans un entretien, l’arrière droit marocain Achraf Hakimi revient, pour la première fois, sur les accusations de viol pour lesquelles il a été mis en examen en mars 2023.
«Je vais être honnête à ce sujet. C’est la première fois que j’en parle publiquement à qui que ce soit. Depuis que cela s’est produit, je n’en ai rien dit », a déclaré Achraf Hakimi dans une interview diffusée sur la chaîne YouTube de A Anas Bukhash. En mars 2023, il est mis en examen pour viol par le tribunal judiciaire de Nanterre après avoir été placé en garde à vue. Une Française de 24 ans, habitant Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), s’est présentée fin février au commissariat de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), où elle a déclaré à la police qu’elle avait été violée par Hakimi à son domicile de Boulogne-Billancourt. Des accusations rejetées par la droite marocaine. Il a également dénoncé une tentative de racket à son encontre et engagé des poursuites contre le plaignant.
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Selon Achraf, la célébrité lui cause des ennuis. “La vérité est que quand on réussit et que les choses vont bien, on devient une cible facile pour certaines personnes”, a-t-il déploré. Et cela m’a appris qu’on ne peut pas faire confiance à beaucoup de gens autour de soi. Lorsque nous avons remis cette affaire entre les mains de la justice, nous avons vu que c’était simplement une manière de me faire chanter. » L’international marocain saisit le tribunal. « Ils voulaient me faire chanter et c’est pour cela qu’on a porté plainte et ça se passe bien. Les tribunaux ont très bien géré les choses. Donc, nous sommes dans un processus qui se déroule bien et la justice a plutôt bien géré les choses», est-il convaincu.
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