NARRATIF – Le compagnon marocain de Joséphine* a été arrêté à Casablanca le 1est Janvier. Ses avocats critiquent une stratégie de défense des trois héritiers qu’elle incrimine pour contraindre la jeune femme à retirer sa plainte.
C’est une nouvelle affaire dans l’affaire qui secoue un peu plus les hautes sphères du Maroc, après la plainte de Joséphine* pour viol à Casablanca. Ce lundi, dans un communiqué, Mes Hakim Chergui et Ghizlane Mouhtaram, les avocats d’Amine N., le fiancé de cette Française de 27 ans, dénoncent « chantage judiciaire » sur le couple, au cœur d’un « procédure instrumentée ». Deux mois après le début de l’affaire, le jeune homme a été arrêté à l’aéroport Mohamed VI le 1er janvier et placé en détention préventive, donnant à cette instruction une tournure plus politique que jamais.
Dans ses deux plaintes, déposées à Paris puis à Casablanca, Joséphine affirme avoir été droguée à son insu puis violée lors d’une soirée du 2 novembre. La jeune femme incrimine trois fils de familles éminentes, comptées parmi les plus grandes fortunes du pays : Kamil Bennis, l’hôte de la réception, ainsi que deux invités, M’hammed Alj et Saad Slaoui. Elle accuse le premier de viol…
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