«À Montréal, les médias peuvent renvoyer les jeunes au club-école»

«À Montréal, les médias peuvent renvoyer les jeunes au club-école»
«À Montréal, les médias peuvent renvoyer les jeunes au club-école»

Le séjour deIlya Kovalchuk à Montréal a été court, mais mémorable.

En 2018, le premier choix des Thrashers (2001) est revenu dans la LNH, après six saisons dans son pays natal. Après avoir été libéré par les Kings lors de la campagne 2019-2020, il a convenu avec les Canadiens en janvier 2020 d’un contrat à faible risque, ce qui s’est avéré être une bonne décision de la part de Marc Bergevin.

En 22 matchs, l’attaquant a récolté 6 buts et 7 passes pour un total de 13 points, dont un but électrisant au Centre Bell pour offrir à son équipe la victoire contre les Maple Leafs en prolongation. Moins de deux mois après son arrivée à Montréal, il est échangé aux Capitals contre un choix de 3e ronde.

D’ailleurs, lors d’une récente interview publiée sur Youtube l’ancien CH est revenu sur son époque dans la Belle Province. Il a notamment parlé de la pression que ressentent les joueurs dans un marché du hockey aussi vaste, particulièrement les plus jeunes qui, selon lui, sont ciblés par les médias.

C’est parfois très difficile pour les jeunes joueurs. Il y a beaucoup de pression. À Montréal, les médias peuvent référer les jeunes au club scolaire.

Ilya Kovalchuk

Kovalchuk poursuit cependant en expliquant qu’il a adoré son séjour à Montréal, notamment grâce à l’ambiance sans précédent du Centre Bell.

Honnêtement, je pense que Montréal a été l’une des meilleures périodes de ma carrière.

Ilya Kovalchuk

Suivez le lien ci-dessous pour l’entretien en question.

Canada

 
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