Ce qui a marqué les Estriens en 2024

Qu’est-ce qui a marqué les Estriens en 2024 ? Alors que l’année touche à sa fin, voici une rétrospective de quelques-uns des articles les plus consultés d’ICI Estrie au cours des derniers mois.


Un délit de fuite survenu dans le secteur des rues King Ouest et Jacques-Cartier a fait jaser les Sherbrookois à la mi-septembre. Le suspect dans cette affaire aurait percuté plusieurs véhicules. Après la médiatisation d’un avis de recherche, il s’est rendu à la police un peu plus d’une semaine après les faits.


La Colombienne Katherine Medina Buesaco, vivant à Sherbrooke avec sa sœur et son bébé depuis 2022, a déclaré attendez[er] un miracle pour éviter d’être expulsées du Canada le 16 septembre. Après un premier sursis de deux mois, les sœurs ont confirmé aujourd’hui qu’elles avaient obtenu un visa de résidence temporaire d’un an et qu’elles avaient l’intention de soumettre prochainement une demande de résidence permanente.

Katherine et Danny Elizabed Medina Buesaco espéraient fortement pouvoir rester au Canada. (Photo d’archives)

Photo: - / Joël Provencher


Une semaine après avoir été violemment agressée, Laury Choinière, de Bromont, a courageusement pris la parole, espérant aider d’autres victimes à dénoncer la violence conjugale.


L’usine Magotteaux de Magog a débuté la construction d’un écran acoustique pour empêcher le bruit et la poussière de déranger les résidences voisines. Pourtant, une femme dont le domicile est juste à côté se voit privée de soleil par cet imposant mur et dénonce la situation.

Ouvrir en mode plein écran

Le mur qui est censé couper le bruit et empêcher la poussière de l’usine Magotteaux d’atteindre le terrain de Manon Tanguay empêche également le passage de la lumière du soleil. (Photo d’archives)

Photo : - / Alexandra Duchaine


En mars dernier, une tragédie a frappé les communautés de Coaticook et de Saint-Denis-de-Brompton, d’où étaient originaires trois hommes qui ont tragiquement péri dans une avalanche en Gaspésie.


Dans les mois qui ont suivi les intégrations de l’automne 2023, les étudiants de l’Université de Sherbrooke ont dénoncé des activités qu’ils considéraient comme dégradant[s] et humiliant[s]. Pour la rentrée 2024, l’Université a annoncé des mesures pour mieux encadrer ces rassemblements.

Ouvrir en mode plein écran

Pour se rendre au parc Jacques-Cartier, où se poursuivaient les activités d’initiation, les élèves devaient emprunter ce chemin. Cette pratique est interdite par l’Université de Sherbrooke car il s’agit d’un « jeu à connotation sexuelle ». (Photo d’archives)

Photo : avec l’aimable autorisation


Le très faible niveau de neige au sol dans plusieurs régions du Québec durant l’hiver 2023-2024 a notamment affecté l’économie, la nappe phréatique et les insectes.


Le Sherbrookois Jean-Sébastien Laplante a dû payer une amende de 322 $ pour avoir laissé pousser de l’herbe sur son terrain. Ce biologiste de formation souhaitait que la réglementation municipale concernant la tonte du gazon soit modifiée.

Un homme se tient devant sa pelouse.

Ouvrir en mode plein écran

Jean-Sébastien Laplante a dû payer une amende de 322 $ pour avoir laissé pousser son gazon. (Photo d’archives)

Photo : - / Katy Larouche

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT Caussade. Neuf films à l’affiche