Claudio Beauvue après un but avec l’OL (AFP PHOTO / JEFF PACHOUD)
N’ayant passé que six mois à l’OL, Claudio Beauvue ne regrette pas son passage. L’attaquant a été marqué par Jean-Michel Aulas et Bruno Genesio.
Ce samedi (21h), Claudio Beauvue espère rappeler les bons souvenirs des supporters de Ligue 1 et plus particulièrement de Strasbourg. A 36 ans, l’attaquant n’en a pas encore fini avec le football et continue de s’amuser RC Calais. A 18 heures, le club nordiste reçoit l’équipe alsacienne et espère pouvoir revivre une épopée comme celle du début des années 2000. Fort de son expérience et d’une Coupe de France remportée avec GuingampBeauvue compte bien jouer les trouble-fêtes. « Pour les jeunes joueurs de Calais, c’est exceptionnel. On aborde ce match le mieux possible, très naturellement. Nous espérons pouvoir réaliser une superbe performance devant notre public, a déclaré l’ancien attaquant de l’OL à Eurosport. Aujourd’hui encore, on me parle de l’épopée de 2000. »
« Genesio, un entraîneur au top, mais aussi sur le plan humain »
Plus proche de la fin de sa carrière que du début, Claudio Beauvue n’a pas perdu la flamme, même en National 3. Ce 32e de finale de Coupe de France rappelle logiquement d’heureux souvenirs, même à l’OL. Cependant, il n’est resté que six mois avec une relation tumultueuse vers la fin avec les supporters. Rien qui lui fasse regretter ce passage où « J’ai découvert la Ligue des Champions ».
Laissé à Celta Vigo six mois seulement après son arrivée, Beauvue a été marqué par Jean-Michel Aulas et Bruno Genesio. « Bruno est formidable en tant qu’entraîneur. Il est également formidable sur le plan humain. Je le respecte beaucoup tout comme Gérald Baticle (son ex-assistant). Le président est un amour. Il était le père de nombreux joueurs. A tout moment, vous pourriez l’appeler. Il a toujours été là, que ce soit sportivement ou humainement parlant. Je me souviens de cette grandeur humaine.
Bien loin de ce qu’il a laissé paraître, à travers les médias, toutes ces années.
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