« Ils essaient toujours de me tuer. Donnez-moi du crédit. » José Mourinho était en colère. Cependant, son Fenerbahçe venait de remporter sa cinquième victoire consécutive en championnat en battant Gaziantep 3-1. Son équipe est désormais deuxième, à seulement 3 points du leader, Galatasaray. Mais selon lui, il est la cible de presque tout le monde. « Il y a cette culture qui va à l’encontre de la stabilité. Pour évoluer, les clubs et les joueurs ont aussi besoin de stabilité dans leurs entraîneurs et dans leur philosophie. Alors laissez-moi tranquille, laissez-moi travailler en paix. »
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Pour les Portugais, c’est précisément ce climat délétère qui a déjà provoqué l’expulsion de Giovanni van Bronckhorst de Besiktas. « N’essayez pas de me faire ce que vous avez fait à Giovanni van Bronckhorst. Je ne connais aucun entraîneur qui puisse faire des miracles en trois, quatre ou cinq mois. Il a fait un excellent travail pour moi.”» a-t-il déclaré à la presse, désillusionné. Depuis son arrivée en Turquie cet été, l’homme de 61 ans a tenu des déclarations incendiaires envers les médias et l’environnement des clubs locaux.
Pub. LE 04/12/2024 12:02
– MISE À JOUR 12/04/2024 15:16
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