En raison du nouveau parcours, Pogacar et Vingegaard s’engageront ce mardi dans une première bataille en haute altitude.
Envoyé spécial à Turin
L’excitation n’est pas retombée après trois étapes où le pouls du peloton battait fort en Italie. Les victoires de Romain Bardet et Kévin Vauquelin ont ravivé la flamme d’une équipe cycliste française qui célèbre rarement ainsi le départ d’un Tour. Le retour sur le sol français ne sera cependant pas une parade. La route est très raide dans les Alpes, avec une étape de haute montagne vers Valloire. En quittant l’Italie, l’organisation n’avait pas le choix, comme nous l’explique Christian Prudhomme, le directeur du Tour : « On monte très haut très tôt, avec Sestrières et le col du Galibier, ce qui n’était jamais arrivé avant le quatrième jour. Le rendez-vous est important pour les favoris. »
Une étape restée dans la mémoire d’une légende italienne, Fausto Coppi, lorsque le Campionissimo avait remporté l’étape de Sestrières le 6 juillet 1952. Un Tour que Fausto Coppi avait survolé de la tête aux épaules après avoir battu Jean Robic en montagne. Sans aucun doute…
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