Thomas Ruyant avait le nez creux. Lors d’une séance à bord de Vulnérable, le skipper français prédisait que le record de vitesse sur 24 heures de ce Vendée Globe serait rapidement à nouveau battu grâce aux vents venus de l’Atlantique Sud. Restait seulement à définir le nom du bateau qui sortirait vainqueur de cette course dans la course. Le résultat est tombé : le Paprec – Arkéa de Sébastien Simon est élu dragster de la semaine avec 604,62 milles parcourus, soit près de 30 de plus que l’ancien record de Yoann Richomme !
Le classement mercredi à 11h
1. Charlie Dalin (Macif Santé Prévoyance), 18,944 nm from the finish
2. Thomas Ruyant (Vulnérable), à 49,24 milles du leader
3. Sébastien Simon (Dubreuil Group), at 53.93 nm
4. Yoann Richomme (Paprec-Arkea), at 78.97 nm
5. Nicolas Lunven (Holcim – PRB) à 95,69 nm
Our complete file on the Vendée Globe
Ça se rapproche derrière Charlie Dalin
Il y en avait trois sur 100 milles la veille, aujourd’hui ils sont deux fois plus. Jérémie Beyou, 6ème, ferme la marche dans ce peloton de tête symbolique tandis que le peloton des poursuivants bénéficie à son tour de conditions très avantageuses. Le skipper de Charal a été le 2ème plus rapide sur les dernières 24 heures. A 11 heures, Nicolas Lunven sentait son souffle sur sa nuque. Dans l’attente du prochain score.
Damage for Justine Mettraux
La circulation est fortement perturbée sur la ligne Mettraux Teamwork – Team SNEF en raison d’un incident d’exploitation (voile avant déchirée) pour une durée indéterminée. Le réseau Mettraux Teamwork – Team SNEF vous invite donc à utiliser les autres voiles de son réseau ou à envisager le mode dégradé. A bientôt et bonne journée.
Actualités de Marina Foils
Bonne nouvelle pour le bateau 20 minutes sur Régate Virtuelle. Notre skipper imaginaire a fait son retour dans le top 300 000 grâce à des conditions météo favorables et se rapproche à toute allure de l’essentiel de la flotte. Les 150 000 premiers sont bloqués dans une zone de vent faible et ont désormais moins de 24 heures d’avance.
Un nouveau dilemme va vite se présenter à notre marin : faire le pari vers le sud quitte à faire un détour et un peu de calme dans un premier temps pour attraper une dépression en 48 heures, ou prendre le « virage » vers l’est en espérant être sur la trajectoire de cette petite dépression lors de la descente vers le Cap de Bonne-Espérance.