«Je suis plus serein que l’année dernière»

«Je suis plus serein que l’année dernière»
«Je suis plus serein que l’année dernière»

L’équipe Intermarche-Wanty atterrit sur le Tour de France Samedi avec plusieurs jeux de cartes, dont Biniam Girmayqui aura sûrement à cœur d’effacer le souvenir de son abandon suite à une chute lors du 4ème acte de Giro. “Je suis fier de revenir sur le Tour, ce sera une édition spéciale, se réjouit l’Érythréen. J’ai beaucoup appris de ma première participation l’année dernière. Je suis plus serein car j’ai suivi une excellente préparation. Le Tour est la plus belle course du monde. Il y aura de belles opportunités, dans les sprints face à un peloton de sprinteurs très relevé mais aussi sur l’étape des routes blanches. Mais il n’est pas le seul sprinteur sur lequel reposent les attentes de l’équipe belge, puisque Gerben Thijssen seront également là pour découvrir le Tour. L’idée, pour ce duo, sera de s’entraider pour ramener une victoire d’étape. «C’est un rêve d’enfant devenu réalité pour moi”, admet le coureur belge.

La présentation des équipes du Tour à Florence !

« Nous sommes fiers de montrer la voie… »

« Ces derniers mois, j’ai eu des moments difficiles à cause de ma blessure à la cheville, il continue, mais maintenant je suis au départ avec de bons sentiments et un état d’esprit positif. Pour mon premier Tour de France, je suis réaliste, je ne vais pas crier sur les toits que je vais gagner une étape. Mais je vais certainement me battre pour obtenir de bons résultats pour l’équipe. Je suis avant tout là pour apprendre et poursuivre ma progression en tant que coureur. Et pour le classement général, ce seront toujours les expérimentés Louis Meintjes aux commandes, 7ème du Grande boucle en 2022 : « Cette édition sera particulière, très dure. Je vais donner le meilleur de moi-même pour obtenir le meilleur classement possible et contribuer aux objectifs de l’équipe de remporter une étape. »

« Avec Louis Meintjes et Biniam Girmay, nous sommes fiers d’ouvrir la voie sur le Tour de France, à un peu plus d’un an des Championnats du monde au Rwanda, avec deux coureurs africains à la tête de notre équipe, qui démontrent le talent dont regorge ce continent. , complète le responsable de la structure Aike Visbeek. De plus, je suis convaincu que ce vivier pourrait être encore mieux exploité à l’échelle internationale, avec un soutien plus structuré des catégories jeunes. »

 
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