Les bagarreurs de la LNH, souvent qualifiés de « durs à cuire », jouent un rôle difficile qui les expose à un risque important de blessure. Chargés de protéger leurs coéquipiers et d’intimider leurs adversaires, ils se livrent à des altercations physiques et encaissent souvent des coups violents.
Leur rôle augmente le risque de commotions cérébrales, de fractures et d’autres problèmes physiques à long terme. Ce lourd tribut physique peut également entraîner des douleurs chroniques, des problèmes de santé mentale et une réduction de la durée de carrière.
Bien que le rôle de l’exécuteur ait diminué dans le hockey moderne en raison des changements de règles et de l’accent accru mis sur la vitesse et l’habileté, ceux qui remplissent encore ce rôle sont souvent soumis à une pression énorme et doivent travailler dans des conditions dangereuses, rendant leurs sacrifices cruciaux et périlleux pour leur vie. équipe.
Un ancien joueur de la LNH, Louie Debruskqui est le père de Jake Debruskétait en interview avec les gars de Chiclets crachant récemment et il a admis que ce rôle, bien qu’il l’ait joué avec une grande fierté, lui créait de véritables cauchemars et beaucoup d’anxiété.
En 401 matchs dans la LNH entre 1991 et 2003, Debrusk a écopé de 1 161 minutes de pénalité. si on regarde son profil sur hockeyfights.com il a combattu près de 20 fois par saison au début de sa carrière.
J’avais des sueurs froides tout l’après-midi avant le match. J’étais à la patinoire trois heures avant le match, juste pour me lever du lit. Les draps étaient mouillés. Je ne plaisante pas. Au fur et à mesure, c’est drôle, il y avait des moments où ce n’était pas aussi important pour une raison ou une autre. Si j’étais dans le rythme et que je me battais bien, j’étais dangereux. C’était comme si tu ne voulais pas me battre maintenant parce que je me sentais vraiment bien. D’autres fois, j’avais l’impression de ne pas pouvoir me sortir d’un sac en papier mouillé. Je me disais : « Oh, mec, j’ai vraiment du mal en ce moment. » Alors tu y penses un peu trop. Oui, j’y pense. C’était la partie la plus difficile.
– Louie Debrusk
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