Le match d’ouverture de l’Euro 2024 entre l’Allemagne et l’Écosse est l’occasion pour l’arbitre Clément Turpin d’introduire de nouvelles modifications dans le règlement d’arbitrage. Entre l’explication du VAR sur les écrans et la possibilité pour les capitaines de parler avec l’arbitre, les spectateurs ont pu assister à ce nouveau système.
Une expérience qui pour l’instant porte ses fruits. Dans le cadre de l’Euro 2024, l’arbitrage s’est préparé à une petite révolution. Dans un premier temps, chaque utilisation du VAR sera expliquée sur les écrans géants lors des matchs. Une autre mesure dont on pourrait parler dans les jours à venir est le fait que seuls les capitaines soient autorisés à parler avec l’arbitre pour lui demander des explications sur une décision prise.
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Dans le cadre du match d’ouverture entre l’Allemagne et l’Ecosse, le Français Clément Turpin a pu expérimenter ce système. À la 25e minute, Christie commet une faute sur Jamal Musiala. Dans un premier temps, l’officiel accorde un penalty, mais le VAR accorde finalement un coup franc. Petit bémol, si l’explication était affichée sur l’écran géant, elle n’apparaissait que deux minutes plus tard, alors qu’elle devrait apparaître instantanément.
L’Allemagne démarre bien
Si beaucoup pensent qu’une pluie de cartons pourrait avoir lieu avec la deuxième mesure, les deux équipes ont été disciplinées puisque sur cette action, seuls les capitaines Ilkay Gundogan et Andrew Robertson sont allés demander des explications à Turpin. L’Ecosse avait encore droit à une grosse sanction avec une énorme faute de Ryan Porteous sur Gundogan dans la surface avant la pause, entraînant le premier carton rouge de la compétition.
L’attaquant Kai Havertz a marqué le penalty pour mettre définitivement l’Allemagne à l’écart avec un score de 3-0. Les pépites Florian Witz et Musiala ont chargé avant d’inscrire les deux premiers buts. A noter que Wirtz est devenu le troisième joueur allemand à inscrire le premier but d’une édition de l’Euro après Gerd Müller (1972) et Karl-Heinz Rummenigge (1980).
