Le jeu de puissance des Leafs se classe actuellement au dernier rang de la LNH

Le jeu de puissance des Leafs se classe actuellement au dernier rang de la LNH
Le jeu de puissance des Leafs se classe actuellement au dernier rang de la LNH

Les Maple Leafs de Toronto connaissent un début de saison assez ordinaire. Avec une collection de treize points en douze matchs (6-5-1), les Leafs ressemblent davantage à une équipe dans le mélange qu’une équipe qui aspire à la Coupe Stanley.

Une des raisons qui pourrait expliquer le début plutôt lent de Toronto est leur contre-performance en avantage numérique avec un taux de réussite de seulement 7,9%, ce qui est bon pour la dernière place de la Ligue. Cela ne fait que trois buts en trente-huit occasions !

Comme le dit James Mirtle, il est difficile de croire que le jeu de puissance soit aussi mauvais cette année. Et depuis la publication de cet article, ce chiffre est passé de 8,3 % à 7,9 % alors que les Leafs sont allés zéro pour quatre avec l’avantage numérique dans une défaite de 4-2 contre les Blues à St. Louis.

Le problème est qu’il en coûte beaucoup d’argent à l’équipe de Toronto pour avoir un avantage numérique qui croupit dans les profondeurs de la Ligue. Les attaquants quatre étoiles des Leafs, Auston Matthews, William Nylander, Mitch Marner et John Tavares, ont coûté à l’équipe plus de 46 millions de dollars en salaire, soit 53,1 % de la masse salariale.

Si l’on ajoute le salaire de 7,5 millions du défenseur Morgan Rielly, spécialiste du jeu de puissanceça fait beaucoup d’erreurs sur la patinoire pour ne pas buteur.

Rappelons aussi que l’équipe a notamment offert un contrat à l’ancien capitaine canadien Max Pacioretty afin d’offrir encore plus de munitions à un avantage numérique qui a terminé septième de la Ligue la saison dernière avec un taux de 24 %.

Depuis plusieurs saisons, le jeu de puissance des Leafs est au cœur des succès de l’équipe et on peut se demander si les problèmes du début de saison peuvent être attribués à l’arrivée du nouvel entraîneur Craig Berube et de ses adjoints. Et si ces revers devaient se poursuivre, cela pourrait-il finir par affecter la performance globale de l’équipe ?

Toutefois, si le jeu de puissance est à la peine, les Leafs s’en sortent plutôt bien en désavantage avec une efficacité de 83,3% pour la huitième place de la LNH. L’équipe a également la quatrième meilleure efficacité de but à cinq contre cinq avec plus dix.

On peut donc penser qu’avec une meilleure performance en avantage numérique, l’équipe aurait un meilleur bilan que treize points en douze matchs. Cela lui donne tout de même la troisième place de la Conférence atlantique, mais seulement quatre points d’avance sur le Canadien qui occupe actuellement la dernière place.

Eh bien, la campagne est encore jeune et il suffit d’une bonne nuit pour que le jeu de puissance des Leafs se débloque, mais entre-temps, l’équipe perd plus de matchs qu’elle ne le devrait.

En rafale

– Bonne journée à nos patineurs.

Bon bouge pour KC !

– Gros gibier de Jackson et Henry !

– Les projets de loi gagnent contre leurs rivaux de section.

– Terrier en feu !

– Et d’autres jeux de la NFL.

 
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