Le ciel semble s’assombrir pour Elias Pettersson et les Canucks de Vancouver.
Le joueur de centre suédois, signé avec un contrat colossal de 11,6 millions de dollars sur huit ans, ne répond plus aux attentes des partisans ni à celles de l’organisation.
Pour un joueur de cette envergure, censé être l’âme offensive des Canucks, ses récentes performances sont vraiment dommage, et la frustration des partisans s’intensifie.
Le journaliste Frank Seravalli s’est montré tout simplement cinglant à ce sujet. Voici ce qu’il a dit :
«Je pense qu’il est complètement perdu. Je pense que c’est une question de confiance – quand vous voyez un joueur vedette de cette ligue se présenter en attaque et envoyer ou lancer un revers vers le filet, sans même essayer de le faire. un jeu, c’est étrange.
Il me semble, et je ne sais pas si c’est le bon terme, mais il semble hésitant, timide, et j’irais même jusqu’à dire parfois effrayé, n’invitant pas au contact.
Les feintes qui ne fonctionnent pas, le manque de poursuite du palet, le fait de se débarrasser des palets, sont des éléments très inquiétants pour moi.
Avec un contrat d’une valeur de 11,6 millions de dollars par année pour les huit prochaines saisons, Elias Pettersson était censé être la pièce maîtresse d’une équipe prête à se battre pour la Coupe Stanley.
Mais sa production (1 but, 3 passes décisives en 10 matchs) est une plaisanterie, son leadership est remis en question, et les supporters de Vancouver commencent à s’impatienter.
Lorsqu’un joueur est payé à ce niveau, il doit être au centre de l’action et non considéré comme un fardeau.
La déception plane sur Vancouver. Pettersson, autrefois considéré comme la future star des Canucks, est aujourd’hui considéré par une majorité de partisans comme un obstacle à la progression de l’équipe.
Ils réclament de plus en plus un échange, une manière de se libérer d’un contrat massif qui, selon eux, freine l’organisation dans sa quête de réussite.
La patience des partisans de Vancouver a atteint ses limites, et ils se demandent si la solution ne serait pas de se séparer de leur ancien prodige pour ouvrir la voie à une nouvelle direction.
Pour les amateurs de hockey à Montréal, cette situation va déclencher des discussions : Kent Hughes devrait-il se manifester ?
L’idée de voir Elias Pettersson dans un uniforme bleu-blanc-rouge est certainement séduisante. Malgré ses récentes difficultés, Pettersson reste un joueur au talent immense, capable de changer complètement une attaque.
Mais ce rêve a un prix, et il est clair que Vancouver ne laissera pas son étoile déchue partir sans obtenir un retour significatif.
Si les Canucks ouvraient la porte à des discussions, Nick Suzuki, Cole Caufield ou encore Juraj Slafkovsky pourraient être sollicités en échange.
La question est donc délicate pour Kent Hughes : Montréal serait-il prêt à sacrifier une de ses jeunes étoiles montantes pour un joueur dont la performance est la honte de l’année et qui est payé 11,6 millions $ par année.
Le coût d’acquisition d’un joueur du calibre de Pettersson est exorbitant, et même si l’idée de l’ajouter à l’alignement du Canadien semble séduisante, l’impact sur la construction de l’équipe pourrait être dévastateur.
Ce qui est sûr, c’est que l’histoire d’Elias Pettersson est loin d’être terminée. Le poids de son contrat, les attentes déçues des fans et les spéculations de plus en plus intenses sur son avenir alimentent une situation qui ne peut pas durer longtemps sans une fin tragique.
Vancouver devra évaluer si sa star suédoise peut revenir à son niveau et répondre aux attentes élevées qui accompagnent son salaire, ou si la solution passe par un échange.
Quoi qu’il en soit, le cas Pettersson pourrait représenter un tournant majeur pour les Canucks et même pour d’autres équipes de la LNH, dont le Canadien.
Mais si Kent Hughes veut éviter de mettre en péril l’avenir de ses jeunes talents pour un joueur en perte de vitesse, il devra faire preuve de prudence.
Seul le temps nous dira si Elias Pettersson saura redonner du lustre à sa carrière, que ce soit à Vancouver ou ailleurs. Mais nous sommes convaincus que son talent n’a pas disparu du jour au lendemain.
Aux yeux de Kent Hughes, Cole Caufield, Nick Suzuki et Juraj Slafkovsky sont intouchables. Ce n’est pas pour rien qu’il les a signés pendant très longtemps.
Caufield et Suzuki resteront intouchables, et pour cause. On se demande si Juraj Slafkovsky le restera.
Pour Elias Pettersson, que dites-vous à la place de Kent Hughes ?