changements réclamés sur « l’autoroute de la mort »

changements réclamés sur « l’autoroute de la mort »
changements réclamés sur « l’autoroute de la mort »

Des changements sont réclamés par les citoyens et les élus pour sécuriser l’autoroute 50, que beaucoup appellent « l’autoroute de la mort ».

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Au cours des dix dernières années, 20 personnes ont perdu la vie sur cette autoroute qui relie Mirabel à Gatineau.

Le dernier accident tragique s’est produit lundi soir à Grenville-sur-la-Rouge, dans les Laurentides. Trois personnes ont perdu la vie dans une violente collision frontale.

« Ça va très vite, le monde évolue très vite. Vous roulez à 110, 115 km/h et le monde vous pousse derrière », raconte Martin Chénier, dont la sœur, Sophie Chénier, est décédée dans un face-à-face mortel sur cette autoroute.

Il déplore également le manque de surveillance policière sur cette route qu’il surnomme « l’autoroute de la mort ».

Depuis 2017, les élus de la MRC d’Argenteuil, un secteur particulièrement problématique, ont adopté huit résolutions pour demander des changements.

La plus récente a été adoptée en avril 2024.

Dans ces documents, les élus réclament principalement l’élargissement de certains tronçons de l’autoroute 50, un meilleur éclairage et l’installation de barrières flexibles dans les zones ne comportant que deux voies.

Le ministère des Transports du Québec (MTQ) dit effectuer des travaux au coin de Mirabel et de Lachute.

 
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