« Nous avons gagné puisque, notamment à cause de ce débat, les abattoirs arrêtent leurs activités »

« Nous avons gagné puisque, notamment à cause de ce débat, les abattoirs arrêtent leurs activités »
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Avec des responsabilités à Bruxelles, Défi a semblé enregistrer deux revers au cours de cette législature sur les questions d’abattage avec des signes préalables assommant et convaincants à la Stib. Son président, François De Smet, évoque au contraire deux victoires d’amarante.


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Par David Coppi et Julien Thomas

Publié le 27/04/2024 à 07h00
Temps de lecture : 3 minutes

DDéfendre la neutralité de l’État est l’un des axes majeurs du Défi. Pourtant, avec des responsabilités à Bruxelles, le parti Amarante semble enregistrer deux revers dans ce domaine au cours de cette législature. D’abord avec le rejet de sa proposition d’ordonnance imposant l’abattage avec étourdissement préalable, puis avec la décision du gouvernement bruxellois de ne pas faire appel de la décision de justice condamnant la Stib pour discrimination à l’égard d’une candidate portant le foulard. D’autant que, dans le premier cas, le texte « massacre » serait passé si tous les députés du Défi l’avaient approuvé. Et que, dans le second, son président de parti en avait pourtant fait une question de gouvernement. Interrogé sur ces supposés échecs, François De Smet a surpris (au moins une partie) de son auditoire en assurant qu’il s’agissait en réalité de victoires d’amarante.



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