Le défenseur central Moussa Niakhaté, absent lors des deux dernières rencontres, pourrait encore manquer à l’appel ce dimanche.
Un retour encore incertain
Recruté cet été pour renforcer l’arrière-garde lyonnaise, Moussa Niakhaté traverse une période délicate. Victime d’une alerte musculaire, le Sénégalais a dû faire l’impasse sur les matches contre l’Olympique de Marseille et l’Olympiakos.
Alors que son retour semblait imminent avant le rendez-vous européen, le staff médical a finalement préféré la prudence. Pierre Sage, entraîneur de l’OL, reste prudent quant à la disponibilité de son défenseur pour le match à Toulouse : « Je n’ose pas trop vous parler, parce que la dernière fois, je vous ai dit que Moussa Niakhaté était valide, donc la séance l’a invalidé le lendemain. Nous allons tester, mais normalement, nous avons potentiellement tout l’effectif disponible.
Un impact sur la composition
La potentielle absence de Niakhaté pourrait avoir des répercussions importantes sur le plan tactique des Gones. Depuis la défaite contre Monaco, Pierre Sage a opté pour une défense à trois, abandonnant le système à quatre défenseurs. Mais le match contre l’Olympiakos en défense à 4 a été satisfaisant. Pierre Sage devrait recomposer avec sa défense à 4, avec Mata ou Niakhaté titulaires aux côtés de Caleta-Car.
Des choix limités en défense centrale
L’incertitude qui entoure Niakhaté met en lumière le manque de profondeur de l’effectif lyonnais en défense centrale. Avec seulement trois défenseurs centraux professionnels disponibles, dont Omari qui peine à gagner la confiance de son entraîneur, les options sont limitées. Clinton Mata et Tagliafico semblent être les deux options les plus valables.
Un début de saison compliqué pour Niakhate
Arrivé avec de grandes attentes, Moussa Niakhaté a connu des débuts difficiles à Lyon. Après une erreur de relance lors de son premier match face à Rennes, le défenseur a su se reprendre et s’imposer comme un élément clé de la défense lyonnaise.
Son absence s’est fait sentir lors de la défaite face à Marseille, où l’axe gauche habituellement occupé par les Sénégalais a été mis en difficulté.
