voici les films en compétition au Festival de Cannes

voici les films en compétition au Festival de Cannes
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Du retour de Francis Ford Coppola, 45 ans après sa deuxième Palme d’Or, à l’entrée en compétition du Français Gilles Lellouche, en passant par un film sur Trump : voici les 19 films en lice pour la Palme d’Or au 77ème Festival de Cannes (14-25 mai).

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“L’apprenti” d’Ali Abbasi

Après « Border » et « Les Nuits de Mashhad », le réalisateur danois d’origine iranienne revient sur les jeunes années de Donald Trump, bâtissant un empire immobilier dans les années 70-80.

« Motel Destino » de Karim Aïnouz

A l’affiche de “Le jeu de la reine”, en compétition l’année dernière à Cannes, le Brésilien s’est rendu dans le Nordeste pour tourner une “comédie sexuelle” centrée sur le désir.

« Oiseau » d’Andrea Arnold

Double nouvelle pour le cinéaste britannique. Réputée pour ses films sociaux dynamitants, elle recevra le Carrosse d’or, couronnant chaque année à Cannes un réalisateur qui fait preuve d’audace et d’innovation. Et Andrea Arnold présentera son nouvel opus porté par le duo et Franz Rogowski.

“Émilia Pérez” de Jacques Audiard

Palme d’Or en 2015, le Français revient avec un film à la croisée du thriller et de la comédie musicale sur fond de trafic de drogue au Mexique, avec un casting cinq étoiles emmené par Selena Gomez et Zoe Saldaña.

“Anora” de Sean Baker

Figure du cinéma indépendant, le réalisateur américain de « The Florida Project » suit le parcours d’une travailleuse du sexe entre New York et Las Vegas.

« Mégalopole » de Francis Ford Coppola

Les épithètes manquent à ce film, peut-être le plus attendu de la compétition, doté d’un budget de 100 millions de dollars, autour de la destruction et de la reconstruction d’une mégalopole. Avec Adam Driver.

« Les Linceuls » de David Cronenberg

Le roi du gore viscéral imagine un système permettant aux vivants de se connecter à leurs défunts dans un film sur la perte d’êtres chers, avec Vincent Cassel et Diane Kruger.

« La substance » de Coralie Fargeat

La Française qui a réalisé le bien nommé « Revenge » en 2018 orchestre le retour sur le devant de la scène de Demi Moore pour un film gore sans vergogne, avec beaucoup de sang à l’écran, nous promet-on.

«Grand Tour» de Miguel Gomes

Le Portugais, réalisateur de « Tabou » en 2012, imagine un fonctionnaire britannique installé en Birmanie en 1917, abandonnant sa fiancée pour partir faire un « grand tour » en Asie.

“Marcello Mio” de Christophe Honoré

Marcello Mastroianni (disparu en 1996, dont on célèbre cette année les 100 ans de naissance) évoqué à travers sa fille Chiara, aux côtés de sa mère Catherine Deneuve et de ses proches, Benjamin Biolay et Melvil Poupaud.

« Capturé par les marées » de Jia Zhang-Ke

Le maître chinois livre une épopée cinématographique unique qui traverse tous ses films et 25 ans d’histoire d’un pays en pleine mutation, avec sa muse et épouse à la ville, Zhao Tao.

« Tout ce que nous imaginons comme lumière » de Payal Kapadia

Le réalisateur filme les désirs de deux femmes en Inde, dont une infirmière de Bombay empêtrée dans un mariage arrangé.

« Genre de gentillesse » de Yorgos Lanthimos

Le réalisateur grec retrouve son actrice fétiche Emma Stone, auréolée d’un deuxième Oscar pour “Poor Creatures”. Elle incarne une femme qui revient pas tout à fait la même d’une disparition en mer.

« Ouf amour » de Gilles Lellouche

Après le succès de “Grand bain”, présenté hors compétition, l’acteur français raconte l’histoire d’amour épique d’un couple insubmersible qui se rencontre au lycée, interprété par François Civil et Adèle Exarchopoulos.

« Diamant brut » d’Agathe Riedinger

Le premier film de la Française, sur les rêves et les utopies d’une adolescente sous le soleil poussiéreux de Fréjus (sud de la ), perdu dans les méandres des réseaux sociaux.

« Oh Canada » de Paul Schrader

Uma Thurman et Richard Gere au cœur d’un film adapté d’un livre de Russell Banks. Un célèbre documentariste canadien, condamné par la maladie, accorde une ultime entrevue à l’un de ses anciens élèves, pour enfin dire toute la vérité sur ce qu’a été sa vie. Une confession filmée sous les yeux de sa dernière épouse…

“Limonov, la ballade d’Eddie” de Kirill Serebrennikov

Après « La Femme de Tchaïkovski », le cinéaste russe en exil s’intéresse à l’écrivain et dissident politique russe Edouard Limonov, incarné par Ben Whishaw dans une adaptation du roman d’Emmanuel Carrère.

« Parthénope » de Paolo Sorrentino

Le réalisateur de “La Grande Belleza” filme les amours impossibles d’une jeune femme, avec pour décor, “une ville qui envoûte, enchante, crie, rit et peut nous blesser” selon le synopsis.

“La fille à l’aiguille” de Magnus Von Horn

Un film d’époque sur l’histoire de Dagmar Overbye qui a assassiné des dizaines d’enfants à Copenhague dans les années 1910 et a été condamnée à la prison à vie. Du réalisateur suédois de « Sweat » (2020).

 
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