La nouvelle résonne comme un coup de tonnerre dans le paysage médiatique sportif québécois. Maxime Truman, l’« insider » bien informé du podcast Stanley25a publié une nouvelle qui a ébranlé les murs médiatiques de la province : une vague de licenciements est sur le point de déferler sur le Réseau sportif (RDS).
Dans un secteur déjà fragilisé par les défis économiques et une concurrence féroce, cette annonce sonnait comme une fin cruelle. pour de nombreux salariés.
La pire nouvelle qui ressort de cette tourmente est la réduction drastique des équipes de production des événements sportifs en direct. On va passer de quatre à deux salariés devant la caméra. Habituellement, nous avions quatre employés : l’analyste, le descripteur et les deux animateurs entre les périodes.
Les grands noms conserveront leur emploi, mais les plus petits perdront leur emploi ou perdront beaucoup d’heures de travail.
Autrefois composées de quatre membres dédiés, ces équipes seraient désormais réduites de moitié dans leurs effectifs. Cette décision implacable signifiait que la qualité de la couverture et de la production sportives serait inévitablement compromise.
RDS, longtemps considéré comme le fer de lance de l’information sportive au Québec, n’a pas été épargné par les réalités économiques implacables.
Même en tant qu’entreprise constamment rentable, elle s’est retrouvée obligée de réduire les graisses pour s’adapter à un marché en constante évolution.
La tristesse et l’inquiétude pèsent sur l’ensemble du personnel, tandis que le spectre de la précarité professionnelle hante les couloirs de la rédaction.
Cette nouvelle a été un coup dur non seulement pour les employés de RDS, mais aussi pour tous les amateurs de sport qui ont apprécié la diversité de la couverture offerte par le réseau.
Avec des moyens réduits, le sport risque de se retrouver relégué en marge de l’attention médiatique, au détriment de la richesse et de la variété de l’offre sportive proposée.
Dans un domaine en chute libre où la concurrence est féroce et où les enjeux économiques prédominent, la nouvelle de cette vague de licenciements chez RDS est un cruel rappel des réalités impitoyables du monde des médias traditionnels.
Même si TVA Sports et d’autres acteurs de l’industrie ont quand même été aux premières lignes contraints de prendre des mesures similaires, il semble que personne ne soit à l’abri des tempêtes économiques qui menacent de déferler sur le paysage sportif québécois.
Plusieurs êtres humains pleurent à RDS en ce moment. Pères et mères. Nos pensées les accompagnent aujourd’hui.
