« Je n’en suis pas fier, j’ai craqué. C’était un vrai combat. Nous ne nous sommes plus jamais parlé après ça. »

PHOTO AFP / PATRICK BERNARD

In L’Equipe and Paroles d’ex, the former Girondins de Bordeaux midfielder, Eduardo Costaqui possède désormais ses diplômes d’entraîneur, a répondu aux traditionnelles questions des médias. Lorsqu’on lui a demandé quel était le joueur le plus fou avec lequel il a joué au cours de sa carrière, il en a cité deux indissociables.

» Jean-Claude Darcheville et Pascal Feindouno (ses coéquipiers à Bordeaux entre 2002 et 2004). Ils étaient inséparables. Deux clowns qui passaient leur temps à plaisanter, à sortir, à faire des fous. Je les ai aimés. Feindouno était un véritable crack, un phénomène. Dans le d’aujourd’hui, il vaudrait des millions et tous les grands clubs l’arracheraient » ;

Ensuite, on lui a demandé de livrer « le plus grand combat ». Et bien sûr, c’est son vrai choc avec Bordeaux Christophe Dugarry. Aujourd’hui, avec le recul, il regrette ce qui s’est passé.

« Avec Dugarry, on s’est échauffé sur le terrain puis dans les vestiaires, à Anderlecht (2-2, le 12 décembre 2002, en Coupe UEFA). Je n’en suis pas fier mais dans le feu de l’action, j’ai craqué. Il pensait que je lui manquais de respect. Même si j’étais jeune, j’avais du caractère. Aujourd’hui, je n’aurais pas agi ainsi. C’était un vrai combat. Nous ne nous sommes plus jamais parlé après cela. Se battre avec votre capitaine est moche et j’ai été qualifié de mauvais garçon dans l’industrie. Cependant, je suis un garçon gentil, qui a bon cœur.

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